Trèsà l’aise à la ferme, Lucile révolutionne le quotidien de son maraîcher. Ouverture d’une boutique à la ferme, fabrication de leurs produitsla jeune femme ne manque pas d’idées. Il y a quelques
Les conseils maraîchers et 60 recettes saisonnières du couple star de L'Amour est dans le pré Jérôme et Lucile vous accompagnent sur le chemin d'une alimentation plus authentique, raisonnée et responsable. Que vous ayez un grand jardin, un tout petit bout de terrain, une terrasse ou un simple balcon, nous pouvons tous mettre la main à la terre et faire pousser nos légumes ! Bien sûr, l'idée n'est pas de nous rendre autosuffisant, mais de nous inviter à nous reconnecter à la nature et au rythme de saisons. Découvrez dans ce livre 22 fiches pratiques pour apprendre à semer, cultiver, récolter, cuisiner et conserver vos légumes, et 60 recettes familiales pour vous régaler avec ce que vous ferez pousser ! Lucile et Jérôme sont agriculteurs, céréaliers et maraîchers. Ils exploitent une ferme familiale à Jons, près de Lyon, et travaillent sans aucun herbicide, "à la force des bras et [...] de la pioche". Ils se sont rencontrés dans l'émission L'Amour est dans le pré et sont aujourd'hui suivis par plus de 200k abonnés sur Instagram. Leur site
Jérômeet Lucile (L'amour est dans le pré) : Le couple passe un cap avant le mariage Purepeople 27 Juin 2022 10:36 0 0 Facebook
Laurent et Céline Couve accueillent des stages équestres, offrent du camping à la ferme et proposent aux visiteurs de suivre les travaux agricoles, la traite manuelle le matin. Tenir le pis fermement, serrer en haut, puis presser pour faire sortir le lait… Cela paraît simple, surtout quand on voit Laurent Couve, de la ferme équestre du Mazel à Antrenas, s’occuper de sa vache vosgienne, Iana. Le lait coule à jet continu dans le seau. Pas si facile quand on prend sa place. Tous les matins, l’agriculteur propose aux stagiaires du centre équestre, aux vacanciers de son camping à la ferme, ou aux touristes de passage, de suivre cette traite à l’ancienne. Mais, pour respecter les visiteurs, la vache et son veau sont priés d’attendre 9 h quand d’habitude, les choses se passent un peu plus tôt ! Le travail à l'ancienne À côté de la cinquantaine de montures de la ferme équestre, chevaux, poneys et ânes, Laurent et Céline Couve élèvent aussi quelques vaches, vosgiennes ou aubracs, des brebis lacaune et des chèves du Massif Central, roves ou alpines. La visite permet donc de découvrir ces animaux. Le couple produit actuellement du lait pour la consommation de la ferme, mais souhaiterait d’ici un ou deux ans, produire suffisamment pour une transformation fromagère et de la vente directe. "Nous avons pour objectif de créer un atelier. Nous avons beaucoup de passage, nous aurons la clientèle", explique Laurent Couve, qui aime à perpétuer les traditions de la ferme, à retrouver l’autonomie d’antan et travaille uniquement en traction animale. Culture de céréales anciennes Prochainement, il devrait moissonner avec un cheval et une javeleuse, puis utiliser une vieille lieuse qu’il est en train de restaurer. "Fin août, début septembre, nous ferons la fête de la batteuse, avec un cheval toujours. C’est un cycle complet puisque nous faisons notre pain." Le four du hameau sera alors allumé une semaine à l’avance. Sur l’exploitation, des céréales anciennes sont cultivées petit et grand épeautre, blé rouge de Bordeaux. "Historiquement ici, c’était plutôt du seigle. On a un rendement cent fois inférieur aux exploitations classiques, s’amuse Laurent Couve. Mais, nous avons des convictions et nous trouvons ça chouette. Bien sûr, ce que l’on fait aujourd’hui ne pourrait pas nourrir le monde." Partager sa passion Le message passe auprès des visiteurs attentifs. Des pratiques qui ne nourrissent plus la planète mais qui ne la polluent pas non plus. Ceux qui viennent jusqu’au Mazel, appréciant ce petit coin de paradis, ne peuvent qu’acquiescer. Laurent Couve poursuit, se fait très pédagogique, explique les estives sur l’Aubrac et la transhumance. Il partage sa passion du territoire avec générosité. Un moment privilégié.

LaFerme des Desrues. Lucile CHAMPAGNE - Domaine des Desrues - 58390 DORNES. tel : 03 86 50 65 57 - lucile.champagne (at)gmail (.)com - www.fermedesdesrues.com. DESCRIPTIF : Vente de viande d'agneau et de porc sur commande, viande fraiche, charcuterie et produits secs. Calme, repos et tranquillité en pleine nature au sein d'une ferme bio

Publi-reportage Eleveurs bio à Bas-en-Basset, Florence et Jérôme Dousson, du GAEC des Doux Sons, ont aménagé un atelier de découpe à Basset » et proposent désormais la vente de produits directement à la ferme. Installés depuis 2004, Florence et Jérôme Dousson sont à la tête d’un élevage de vaches allaitantes de la race limousine et de 15 montbéliardes pour du veau de lait. Labellisé en agriculture biologique, le GAEC des Doux Sons vend 100 % de sa marchandise en direct, soit sur les marchés de Haute-Loire, soit directement à la ferme à partir de cette semaine. La vente directe en plein essor Depuis le premier confinement, les deux agriculteurs ont vu la consommation se transformer avec une mise en avant des circuits courts, de l’éleveur au consommateur. Privés de marchés pendant quelques semaines, ils s’étaient mis dans la livraison. Des soldats de l’alimentaire comme certains les surnommaient alors. Quatre marchés par semaine Ils continuent de faire les marchés le mercredi à Saint-Germain-Laprade, le jeudi à Laussonne, le vendredi à Aurec-sur-Loire et le samedi à Monistrol-sur-Loire. Mais à partir de cette semaine, on peut aussi aller acheter la viande directement à la ferme, sur un bâtiment agricole situé à Basset », chemin de Chiroux. Vue directe sur les bêtes Dans une ancienne salle de traite, un laboratoire a été aménagé, valorisant ainsi un bâti existant. Les bêtes sont toujours abattues à Yssingeaux mais les produits sont désormais transformés au sein même de l’exploitation. Et un espace de vente a été aménagé. Une fenêtre donne directement sur la stabulation où les limousines et leurs veaux sont confortablement installés au chaud, sur la paille. Le couple Dousson joue la transparence sur ses méthodes et donne l’occasion au consommateur de découvrir l’environnement des bêtes. Des produits sous vide pour faciliter la conservation On peut réserver sa viande ou se rendre à la ferme le mardi après-midi pour disposer d’un choix total des produits. La transformation se fait le jour même. Nous avons arrêté le marché de Bas, nous proposons désormais la vente à la ferme pour les gens du coin. » Tous les produits sont mis sous vide sauf demande contraire, ce qui facilite la conservation. Le mardi pour commencer et le vendredi aux beaux jours Dans un premier temps, la vente se fera le mardi à partir de 15 heures puis 18 heures dès lors qu’on ne parlera plus de couvre-feu ou de confinement. Et aux beaux jours, on pourra aussi acheter sa viande le vendredi en fin de journée, en prévision des barbecues. On fera des brochettes », promet Jérôme Dousson. Contact Florence au 06 26 82 87 64
Envoilà une fin heureuse. Grâce à sa participation à l’émission, Jérôme a trouvé le parfait amour dans les bras de Lucile. Une idylle remplie de ten1 Rencontre avec Jérôme Niel, le gars derrière La Ferme Jérôme. On y cause d’où il vient, de ses projets et de ses podcasts bien sûr. interview tournée pour feu GentleMec Jérôme et son pote Axel sont les deux gaillards derrière La Ferme Jérôme, un podcast qui date d’avant Norman, figurez-vous. Sisi. Ils ont démarré il y a un an et demi – je vous laisse aller checker les archives sur leur site web. Au début, ils faisaient de l’actu, mais aussi des parodies, avant d’envoyer du décryptage assez fantastique des meilleures émissions de TF1 Secret Story, Carré Viip, Pascal le Grand Frère. La première chaîne fut échaudée que Jérôme fasse son p’tit bizness en se servant d’images de ses cacas télévisés, elle ordonna donc à Youtube de supprimer ses vidéos à tour de bras. Vous pouvez les retrouver peut-être en cherchant sur Youtube, puisque ses fans continuent à faire de la résistance et à uploader les vidéos criminelles, histoire d’embêter la Une. Mais Jérôme a plus d’un tour dans son sac et il a donc décidé de revenir en ce début de saison avec des vidéos 100% libres de droit. Il est donc sorti de son appart avec le fameux tableau gribouillé, pour aller à la rencontre des vrais gens et c’est pas plus mal. La preuve, il m’a même rencontré, dans un café, pour causer de ses fantastiques aventures. Sa nouvelle chaîne Youtube Sa fanpage sur Facebook LucileTravert - Fragilités - achetez en ligne des oeuvres d’art originales à prix abordables en direct des ateliers d’artistes, sélectionnés par KAZoART et des experts du monde de l’art . Fermer Rechercher. Rechercher une technique, un artiste, une oeuvre Nos oeuvres à vendre par catégorie. Peinture; Sculpture; Photographie; Dessin; Édition; Aucun produit Livraison
INTERVIEW. Avec son mari, Jérôme, et leurs enfants, Lilly et Margot, Élise a choisi de vivre à la ferme*. À découvrir dans Ma Famille est dans le pré, qui a été diffusé samedi 21 avril à 20h50, sur 20 ans, vous vouliez devenir architecte. Qu'est-ce qui vous a fait bifurquer vers la ferme ? Élise La rencontre avec Jérôme, mon futur mari. Ses parents étaient exploitants, producteurs de céréales et éleveurs de vaches à lait, et il s'était formé en boucherie-charcuterie pour reprendre l'exploitation et la développer. Quand on a décidé de se mettre ensemble, j'ai arrêté mes études d'archi et je me suis formée à la fabrication des fromages de lait de chèvre. On a démarré avec sept chèvres, aujourd'hui on en a trente, ce qui reste un petit élevage pour notre région Alsace, ndlr, et on a aussi une centaine de avez deux filles de 5 et 3 ans. Comprennent-elles le privilège de vivre à la ferme ? Non, probablement pas, elles comprendront plus tard. Il y a du positif et du moins facile. Quand on peut prendre le temps tous les quatre, un dimanche, de regarder quelques minutes nos chèvres qui broutent au soleil ; quand Jérôme leur cuisine des petits plats avec les légumes frais et la viande qu'il a lui-même préparée ; Quand je peux emmener Lily à l'école à cheval... À côté de ça, on n'a pas de temps pour nous et elles ont appris très tôt à jouer seules...À quoi ressemble l'une de vos journées ? En ce moment, je me lève vers 5h30, direction l'étable pour traire les chèvres et nourrir les animaux. Ensuite on réveille les filles pour un petit déjeuner ensemble, l'aînée part à l'école et Margot vient avec moi à la fromagerie. J'y reste toute la matinée, pour fabriquer 700 yaourts ou des fromages... On déjeune tous les quatre, et puis l'après-midi je gère la paperasse, avant la deuxième traite de 17 vendez-vous votre production ? Directement chez, la Ferme aux Pampilles, le samedi matin, et sur les marchés ou chez des maraîchers la semaine. Toute notre production est achetée dans un rayon de cinq kilomètres. L'année dernière, j'ai quand même vendu 22 000 yaourts !Votre installation a nécessité des investissements lourds. Vous en vivez aujourd'hui ?On a encore un gros emprunt de 5 500 euros à rembourser chaque mois, des factures très lourdes, mais on s'en sort. C'est un choix de vie que nous ne regrettons pas !Vous finissez petit à petit les travaux dans la maison. On a emménagé en janvier, après des années de mobile home ! On est enfin au chaud dans le mobile home, il faisait 8 degrés l'hiver...*Ferme aux Pampilles, Masevaux Haut-Rhin. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités
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