Lejuge de l’application des peines (JAP) est un magistrat du siège du tribunal judiciaire, compétent pour fixer les principales modalités de l’exécution des peines privatives de liberté ou de certaines peines restrictives de liberté, en orientant et en contrôlant les conditions de leur application. Dernière modification : 3 mai 2021.
… Comment les savoirs sont-ils produits ? Comment se transmettent-ils ? Quelle approche adopter pour apprendre à les observer ? Qu’il s’agisse d’un laboratoire, d’une agora grecque, d’un jardin botanique, d’une table de travail ou d’une bibliothèque, chaque lieu de savoir possède une dynamique propre, conséquence de son histoire et de ses spécificités. En mêlant l’observation des pratiques à l’interprétation des méthodes de pensée, cet ouvrage étudie les lieux de l’activité savante dans ... Lire la suite Éditeur OpenEdition Press Collection Encyclopédie numérique 2 Lieu d’édition Marseille Année d’édition 2014 Publication sur OpenEdition Books 21 mars 2014 EAN Édition imprimée 9782821834576 EAN électronique 9782821834583 DOI Nombre de pages 122 p. Comment les savoirs sont-ils produits ? Comment se transmettent-ils ? Quelle approche adopter pour apprendre à les observer ? Qu’il s’agisse d’un laboratoire, d’une agora grecque, d’un jardin botanique, d’une table de travail ou d’une bibliothèque, chaque lieu de savoir possède une dynamique propre, conséquence de son histoire et de ses spécificités. En mêlant l’observation des pratiques à l’interprétation des méthodes de pensée, cet ouvrage étudie les lieux de l’activité savante dans une approche comparatiste. Construit comme une invitation à la réflexion, situé à la frontière entre histoire et anthropologie, cet ouvrage tente de baliser les hypothèses et les enjeux d’une nouvelle approche des savoirs humains. Il s’adresse à tous les lecteurs qui souhaitent s’engager dans des cheminements parallèles ; il déploie des pistes de réflexion pour les humanités d’aujourd’hui et de demain. Cet ouvrage a été réalisé avec le soutien du Labex Hastec. Christian Jacob est directeur de recherche au CNRS et directeur d’études à l’Ehess. Membre d’Anhima UMR 8210, Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques, il travaille sur Alexandrie et la culture lettrée et savante du monde gréco-romain. Ses recherches ont aussi porté sur l’histoire de la cartographie. Depuis le début des années 2000, il dirige le projet comparatiste et interdisciplinaire des Lieux de savoir, ouvrant le champ d’une anthropologie historique des pratiques et des traditions savantes. Lire Acheter Thématique Mots clés écriture, espace, inscriptions, laboratoire, livre, mémoire, practical turn, pratiques savantes, savoirs, spatial turn, texte Disciplines Thèmes Avecun salaire net de 25 millions d’euros accompagné d’une prime de fidélité de 15 millions d’euros, le coéquipier de Presnel Kimpembe et de Marco Verratti est assuré de sécuriser ses vieux jours. Schalke 04 a été le seul club qui était prêt à lui offrir le même salaire qu’au Real Madrid, soit quatre millions d’euros par saison. Pour ‘As’, le milieu de terrain L’heure est à l’hyper connexion, aux interactions multiples. Nous échangeons chaque jour quelques milliers de commentaires, images, vidéos, liens, gifs et émojis avec nos clients, partenaires, prestataires et collègues d’open space. Pourtant, les résultats du 6e baromètre Paris Workplace réalisé en partenariat avec l’Ifop révèlent que les salariés, de plus en plus connectés, se sentent de plus en plus isolés. 6 interrogés sur 10 disent qu’il leur arrive de se sentir isolés au sein de leur entreprise et 1 sur 4 ressentent souvent cet isolement. D’où vient ce mal-être qui semble frelater les organisations ? Qu’est-ce qui favorise cet isolement ? Pourquoi sommes-nous toujours plus nombreux à éprouver un sentiment de solitude alors même que la communication semble omniprésente ? Décryptage d’un sentiment aussi subjectif que largement partagé avec Caroline Dumas, psychologue spécialisée dans la souffrance au pluriellesLa notion d’isolement professionnel pose question et semble difficile à circonscrire. Caroline Dumas pointe du doigt le flou qui entoure sa définition Parle-t-on d’un isolement physique ou d’un isolement relationnel ? D’un isolement réel ou d’un isolement perçu ? D’un isolement temporaire ou permanent ? » L’isolement semble complexe et pluriel. Il peut s’apparenter quelques fois au manque d’interactions physiques travailler seul dans son bureau ou à domicile, au fait d’être peu ou mal entouré ou encore au sentiment de ne pas pouvoir compter sur quelqu’un dans la sphère professionnelle. C’est probablement ce dernier point qui est le plus décisif pour appréhender ce sentiment. La psychologue se risque à définir l’isolement au travail comme un ensemble de situations où les salariés éprouvent des difficultés, pour quelque raison que ce soit, à obtenir une assistance en cas de nécessité. » Elle le distingue du sentiment de solitude, plus extrême, qui correspond à la situation subjective où le salarié s’est résigné à ne pas rechercher d’aide, considérant par avance que c’est peine perdue. » C’est un ensemble de situations où les salariés éprouvent des difficultés, pour quelque raison que ce soit, à obtenir une assistance en cas de nécessité » - Caroline Dumas, psychologueLire aussi dans notre rubrique WorkersRhume des foins portrait robot de votre collègue toujours maladeUn sentiment de déliaison difficile à identifierComme le souligne Caroline Dumas, quelques critères objectifs permettent de qualifier des situations d’isolement comme l’absence ou la présence de personnes à proximité pour évaluer l’isolement physique ou la qualité et le nombre d’interactions avec d’autres personnes pour évaluer l’isolement relationnel. »Paris Workplace a mis en exergue deux signes assez communs chez les salariés isolés ; ceux-ci écouteraient plus régulièrement de la musique au travail et tutoieraient beaucoup moins facilement leurs collègues. Des points d’attentions très concrets mais insuffisants pour évaluer un état qui n’est pas toujours conscientisé. En effet, ces critères objectifs » ne suffisent pas nécessairement à détecter l’isolement. Caroline Dumas soulève la complexité à l’œuvre derrière ce sentiment ; l’isolement physique ne veut pas dire isolement relationnel qui a trait au nombre et à la qualité des échanges avec d’autres personnes. On peut en effet travailler seul et se sentir parfaitement bien entouré. À l’inverse, l’isolement professionnel peut être plus prégnant pour des professions, telles les conducteurs de bus, qui malgré la présence très forte de clients autour d’eux, peuvent n’avoir rien à partager avec eux. » L’isolement physique ne veut pas dire isolement relationnel qui a trait au nombre et à la qualité des échanges avec d’autres personnes. » - Caroline DumasPour la psychologue, l’isolement est identifiable quand le travail devient indicible et lorsque le salarié ne fait plus partie d’une expérience partagée. Le travail ne renvoie plus à une expérience communicable, les liens avec le collectif ou la communauté sont, non pas distanciés mais coupés. » L’isolement se caractérise donc souvent par une forme de repli sur soi, un défaut de verbalisation qui peut, quelques fois, se transformer en une certaine apathie. Comme le précise Caroline Dumas, cette solitude affective a été théorisée par Hannah Arendt sous le terme de “désolation” puis reprise par la psychodynamique du travail. Elle s’éprouve dans le sentiment d’inutilité, de non appartenance au monde, dans l’abandon par autrui, dans le déracinement, dans le sentiment de se faire défaut à soi-même. » L’isolement est identifiable quand le travail devient indicible et lorsque le salarié ne fait plus partie d’une expérience partagée. » - Caroline DumasLes nouvelles pratiques de travail en causeIl semblerait que malgré la multiplication des moyens de communication, nous soyons plus seuls que jamais. Pour Caroline Dumas, il est évident que les nouvelles pratiques de travail, telles que le développement généralisé des open spaces, l’hyperconnexion ou encore le télétravail, jouent un rôle prévalent dans le développement du sentiment de solitude chez les professionnels aujourd’hui. »Cela semble antinomique et pourtant, l’étude Paris workplace conclut elle aussi que trop de relations tue la relation » et qu’ au-delà de 20 relations par jour, leur qualité et la performance des collaborateurs baissent significativement. » Si ce n’est le nombre, c’est donc probablement la qualité de la relation qu’il faut questionner. La dématérialisation et la déshumanisation des échanges, l’hyper-sollicitation, le flux ininterrompu d’information banalisent et abîment probablement quelque peu le lien social. À l’heure où 7 salariés sur 10 échangent quotidiennement avec plus de 10 personnes par messagerie instantanée, mails, téléphone, intranet et où les bureaux partagés rassemblent 82% des travailleurs, nous pourrions croire être loin de l’isolement… et un individualisme latentDerrière ces nouveaux usages, qui redéfinissent les règles du jeu et des échanges au travail, d’autres mécanismes sont à l’œuvre. Si les salariés sont rarement seuls, nombreux sont ceux qui avouent se sentir isolés, épiés, surveillés. Pour comprendre le pourquoi de ce sentiment d’isolement, il faut aussi s’intéresser à l’organisation du travail. Caroline Dumas explique qu’il faut dépsychologiser le mal-être au travail dont l’isolement professionnel fait partie pour se concentrer sur la manière dont le travail s’organise aujourd’hui. » Le malaise professionnel n’est pas seulement le fait d’individus en souffrance, il est avant tout la résultante d’organisations malades. La psychologue met en cause l’intensification du travail et les organisations du travail qui produisent de la solitude. » Autrement dit, bon nombre de pathologies, maladies professionnelles, troubles de la santé isolement relationnel, dépression, angoisse… découleraient selon elle d’une dégradation du vivre ensemble au travail ». Caroline Dumas évoque à cet égard les travaux en psychodynamique du travail » qui convergent vers l’analyse d’une érosion des rapports d’entraide et de solidarité au travail, le développement de relations de compétition et de méfiance réciproque, et un isolement croissant de chacun qui fait le lit d’une montée de la solitude et des troubles associés. » Bon nombre de pathologies, maladies professionnelles, troubles de la santé découleraient […] d’une dégradation du vivre ensemble au travail. » - Caroline DumasLa performance est reine et c’est l’évaluation et la compétition qui, souvent encouragées par les managers, cadencent désormais la vie des salariés. Sous couvert de challenge, sous prétexte de vouloir tirer le meilleur de chacun, le management ébrèche doucement mais insidieusement la solidarité et le collectif de travail. Le succès individuel prime bien souvent sur l’esprit de corps ; l’organisation récompense les individus au lieu de célébrer le groupe. Caroline Dumas dénonce également les orientations qui président la gestion des ressources humaines ». Selon elle, les formes modernes du management, à travers notamment la gestion des emplois et des carrières individualisent les salariés et les isolent du collectif. » Comment apprendre à travailler en équipe si nous continuons d’évoluer seul ? Dans un rapport sur l’isolement au travail de l’INRS, la sociologue française Danièle Linhart souligne également un mouvement général de distanciation interindividuelle dans l’organisation contemporaine du travail. » Concrètement, performer au travail signifierait désormais s’affirmer, tirer son épingle du jeu et ce souvent au détriment des collectifs de travail. Selon sa thèse, dans les secteurs privés comme publics, la performance individuelle assujettie aux impératifs de productivité est survalorisée au risque de l’effacement d’une pensée réflexive collective sur les pratiques de métier. Par ailleurs, la confiance nécessaire à la coopération et l’organisation opérationnelle du travail s’affaiblit face à une autorité gestionnaire qui contrôle et suspecte. Ce mouvement général d’intensification malmène le lien social et crée ainsi de la solitude au travail par excès d’individualisation. » Retisser le collectifComment, dès lors, court-circuiter ces schémas de pensée individualistes, renouer avec des échanges vertueux et resocialiser les organisations ? Selon Caroline Dumas, créer de la relation suppose de tisser, au-delà d’une dynamique de coordination, une dynamique de coopération renvoyant à la notion d’œuvre commune. » Reconstruire le commun est un travail de longue haleine, psychologique, organisationnel, structurel. Pour Caroline Dumas, pour endiguer l’isolement au travail, il ne s’agit pas seulement de prendre en charge les salariés individuellement numéro vert, gestion du stress, écoute pour rendre supportable l’insupportable etc… mais de les encourager à prendre en charge eux-mêmes les questions du travail, à développer du pouvoir de faire des choix et d’agir. »Concrètement, que faire pour rompre l’isolement et fabriquer de la relation ? Revue de quelques bonnes pratiques Prendre conscience de la montée de son propre isolement professionnel, puis éventuellement de sa solitude, et ne pas sous-estimer ce ressenti. Soutenir les salariés face à une difficulté puisque c’est le sentiment de ne pouvoir compter sur personne qui fait le lit de l’isolement professionnel. Privilégier les échanges en face à face pour réharmoniser et ré humaniser la relation. Selon l’étude Paris workplace, les salariés qui échangent en face à face avec plus de 3 collègues par jour sont presque deux fois moins nombreux à souffrir de solitude 21 % vs 36 %. Promouvoir le travail collaboratif, la fréquence du travail en équipe étant directement corrélée au bien-être au travail. Repenser l’espace de travail pour réinsuffler une dynamique collaborative. L’aménagement des bureaux est clé dans la qualité de vie au travail ; l’étude Paris Workplace démontre que les salariés qui échangent le plus et qui entretiennent de bonnes relations avec leurs collègues les hyper-relationnels disposent, plus souvent que la moyenne, d’espaces de détente et de convivialité dans leurs bureaux 84 % vs 66 %, et d’espaces destinés à travailler en mode collaboratif 62 % vs 47 %. L’aménagement des bureaux impacte également très directement la qualité des relations. Il apparaît que le format qui favorise le plus les échanges de qualité ! est le bureau partagé de 2 à 6 personnes, devant les open spaces ou les bureaux individuels fermés. Le sentiment d’isolement au travail, exacerbé par la dématérialisation des échanges et l’individualisation des trajectoires professionnelles, semble gagner du terrain. Nous interagissons beaucoup trop ? sans nous lier vraiment car le temps va plus vite, les Slack, Trello et autres outils collaboratifs remplacent les réunions d’équipe et les chats internes les bons mots de la pause café. Nous travaillons souvent seuls pour mieux faire nos preuves ou évoluer. Nous oublions, dans la course folle du quotidien et de la productivité ce qui fait le sel et la performance véritable des organisations l’intensité et la qualité des relations. Et si nous privilégions la meilleure façon d’échanger à celle qui va le plus vite ? Et si nous décidions à nouveau de prendre soin du lien social ? Et si nous choisissions d’abandonner l’individualisme forcené qui prévaut pour passer d’une organisation du travail solitaire à une organisation du travail solidaire ? Suivez Welcome to the Jungle sur Facebook pour recevoir chaque jour nos meilleurs articles dans votre timeline !Photo d’illustration by WTTJIl est un événement très important dans l’histoire de France, à tel point que ses conséquences se font encore sentir aujourd’hui, dont on n’a absolument pas parlé, et qui a pourtant fêté son 140è anniversaire au mois de mai il s’agit de la Commune de Paris mars-mai 1871. Le contexte est la guerre franco prussienne de 1870. Après la déclaration de guerre de la France contre la Prusse, principale nation d’une Allemagne qui ne sera proclamée à Versailles qu’en janvier 1871, une série de batailles perdues entraîne la chute de Napoléon III et la proclamation de la IIIè République. Paris se retrouve encerclée tout l’hiver et connaît une grave famine. Une nouvelle Assemblée nationale est élue alors qu’un tiers du pays est occupé et c’est une majorité monarchiste, favorable à la paix, qui s’impose en février 1871. La population parisienne rejette cette assemblée de paysans » car elle estime s’être bien battue et ne veut pas connaître l’humiliation de la défaite alors que la ville n’a pas été prise par les Prussiens. Les tensions s’exacerbent, à la fois par la frustration, la faim, la pauvreté, au point que le gouvernement et l’Assemblée quittent la capitale pour Versailles le 10 mars 1871. Afin de prévenir une révolte, le gouvernement, mené par Adolphe Thiers 1797-1877, ordonne la prise des pièces d’artillerie entreposées à Paris. Il s’agit de 227 canons que les Parisiens ont achetés pour leur défense. L’opération a lieu le 18 mars dans la nuit et est une réussite à Montmartre, à Belleville, les canons sont pris sans problèmes, mais il n’y a pas de chevaux pour les transporter. A leur réveil, les Parisiens, qui craignent que l’absence de leurs canons ne nuisent à leur sécurité, s’opposent à la prise des canons, et font fusiller les généraux commandant l’opération. L’insurrection éclate. La Commune de Paris organise la défense et met en place ses lois. Il s’agit avant tout d’un système ouvrier on est en ville, accordant de nombreux avantages aux prolétaires, comme la suspension du paiement des loyers, ou la distribution de repas chauds. La Commune est également le déclencheur du mouvement de l’émancipation des femmes ces dernières se battent aux côtés des hommes, comme Louise Michèle 1830-1905 célèbre militante anarchiste, elles se battent également pour l’égalité des salaires qu’elles commencent à obtenir sur la fin de la Commune. C’est également la Commune qui proclame l’enseignement gratuit et laïque. Mouvement populaire, qualifié d’anarchiste, elle ne pouvait qu’entrer en conflit avec l’enseignement confessionnel, plus proche des milieux royalistes au pouvoir l’enseignement deviendra laïc et gratuit en 1881 et 1882. Dans le même temps 2 avril, la Commune décrète la séparation de l’Eglise et de l’Etat qui ne sera voté qu’en 1905. En dépit de ces mesures révolutionnaires, la Commune, perçue comme un mouvement de citadins dans un pays à majorité rurale, ne se répand pas dans le pays. Thiers rassemble une armée à Versailles afin de reprendre la ville. Il obtient des Prussiens, toujours présents au Nord de Paris de mettre des troupes en place pour bloquer les accès Nord et Est, la ville étant toujours fortifiée. Le 21 mai, grâce à une trahison, les troupes versaillaises pénètrent dans l’enceinte de la ville par la porte de St Cloud. Commence alors la Semaine Sanglante » la ville est reprise quartier par quartier, au rythme des combats de rues et des exactions de part et d’autre les Tuileries, l’Hôtel de Ville, le palais de justice, le palais de la Légion d’Honneur…sont ravagés par les flammes, le Louvre manquant d’être détruit mais sauvé par un colonel versaillais. La répression s’abat sur la ville 20 000 personnes sont fusillées sans jugement, sans compter les morts au combat, les otages exécutés dont l’archevêque de Paris…Plus de 10 000 condamnations furent prononcés mais il y eut à peine une vingtaine d’exécutions. Tout est fini le 29 mai 1871. La Commune a changé le monde et Paris. Tous les mouvements révolutionnaires qui suivront révolution russe, bolchevique, espagnole,… se diront descendants de cet événement, Lénine dansant même lorsque la révolution bolchevique dépasse d’un jour la durée de la Commune. C’est pour expier les crimes de la Commune qu’est construite la basilique du Sacré Cœur, à partir de 1873. C’est suite à la Commune que la ville de Paris ne connaîtra pas de maire avant 1977. Beaucoup de chercheurs y ont vu le début du mouvement ouvrier qui prendra son essor dans les années 1890, mais le fait est qu’il s’agissait d’un mouvement populaire égalitaire dont la plupart des lois seront votées et appliquées. Les principes républicains que l’on revendique aujourd’hui sont issus d’un mouvement révolutionnaire.
Aucontraire, dans ses livres, le monde sauvage se révèle à chaque fois aussi fascinant qu’inquiétant, aussi sublime que cruel. Liam, le héros de son nouveau roman, le sait
Foot - Mercato À Barcelone et Paris, c’est la fin du rêve pour Bernardo Silva Publié le 25 août 2022 à 13h35 par Thomas Bourseau mis à jour le 25 août 2022 à 13h37 Il est l’une des opérations chaudes de cette fin de mercato. Annoncé au PSG, où Luis Campos rêve de l’accueillir, et au FC Barcelone, étant une signature rêvée de Xavi Hernandez, Bernardo Silva ne partira pas selon le directeur exécutif de Manchester City. L’occasion pour Pep Guardiola et pour Xavi de faire le point sur la suite de ce feuilleton. Avant la clôture du mercato estival, Luis Campos aimerait que son rêve devienne réalité. Comme vous l’a révélé en exclusivité le 18 août dernier, une offre de transfert de 80M€ a été transmise à la direction de Manchester City par les décideurs du PSG. En vain. En effet, le champion d’Angleterre a repoussé ladite offre et ne semble pas prêt à revenir sue sa position. Manchester City campe sur ses positions pour Bernardo Silva Ces dernières heures, après avoir affirmé à la Cadena SER qu’il était trop tard à ce stade du mercato pour enregistrer des arrivées et boucler des départs, Ferran Soriano a tenu un discours similaire à Tv3 dans le cadre de la rencontre caritative entre le FC Barcelone et Manchester City au Camp Nou mercredi soir 3-3. Il n'y a pas de discussions ou de pourparlers pour Bernardo Silva. Il n'y a pas de cas Bernardo. Le mercato de Manchester City est clos, c'est terminé ». Admiratif de Silva, Xavi ne se mouille pas et attend un signe de City Dans la journée de mercredi, The Ahletic a assuré que Xavi Hernandez verrait d’un très bon oeil le recrutement de Bernardo Silva au FC Barcelone. Le milieu offensif serait même la signature rêvée de l’entraîneur du Barça. Cependant, Xavi ne serait pas dupe quant à la faisabilité de ladite opération. Qui n'aime pas Bernardo Silva? C'est un joueur très important pour Pep et pour City. Je l'aime, il fait la différence car il a une grande capacité à comprendre le jeu. Il y a peu de joueurs comme lui. Mais je pense qu'il n'y a pas de nouvelles. Cela dépend de City ». Voici le témoignage livré par Xavi Hernandez dans le cadre de la rencontre face à Manchester City et dans des propos relayés par Esport3. Mercato - PSG Luis Campos connaît la réponse pour le transfert de Bernardo Silva — le10sport le10sport August 24, 2022Guardiola peut-il enfin souffler pour Silva ? Ces derniers temps, Pep Guardiola a régulièrement été invité à s’exprimer sur l’avenir de Bernardo Silva, à la fois annoncé du côté du PSG et du FC Barcelone. Cependant, sa position sur la question de son départ n’a jamais évoluée comme en atteste sa déclaration de mercredi soir. Bernardo Silva est un grand joueur et nous le voulons avec nous. Je ne veux pas avoir de joueurs mécontents dans l'équipe, mais la vérité est que je ne suis au courant d'aucune offre. Pour lui, partir serait un gros problème pour nous. Nous voulons rester à City. C'est aussi vrai, cependant, que Bernardo aime beaucoup Barcelone ».. 283 478 118 184 111 169 304 212