ILY A 22 ANS MOURAIT LE PRINCE SOKI DIANZENZA En ce jour du 4 mai 1990, le ciel est sombre, il a revĂȘtu sa triste robe noire de circonstance. Le soleil refuse de se pointer Ă  l'horizon car sur l'avenue Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + CrĂ©er mon blog. MBOKAMOSIKA. Cet espace se veut un lieu de rencontres et d'Ă©changes entre ressortissants
Par Julie M. PubliĂ© le 29 septembre 2021 Ă  17h29 Le spectacle Au Secours ! Le Prince Aubert a disparu ! va ravir les petits Sherlock Holmes en herbe, au Théùtre Le Bout du 11 septembre au 7 novembre 2021. Au Secours ! Le Prince Aubert a disparu ! Pour tenter de le retrouver, les petits et les grands se retrouvent au Théùtre Le Bout du 11 septembre au 7 novembre 2021. Les petits spectateurs, qui dĂ©tiennent des indices, vont ĂȘtre d'une grande aide Ă  la Princesse Pervenche qui n'avance pas dans son enquĂȘte. En effet, Madame Moche brouille les pistes ! Il faut sauver Ă  tout prix le pauvre Prince et son Royaume. Le Royaume est en danger car le Roi est trĂšs malade mais est-ce vraiment une maladie ? Il se raconte qu'il aurait Ă©tĂ© empoisonnĂ© et le prince Aubert reste introuvable. Quelques indices indiquent qu’il s’est noyĂ©. Au chĂąteau, il ne reste plus que la Princesse Pervenche qui puisse Ă©viter le pire. Mais en sera-t-elle capable ? Les apparences prouvent le contraire et les embĂ»ches s’amoncellent
 À lire aussiQue faire pendant ces vacances d'Ă©tĂ© 2022 Ă  Paris avec les enfants ?Les parcs d'attractions, parcs Ă  thĂšme et fĂȘtes foraines Ă  Paris et aux alentours, le programme 2022Que faire ce week-end Ă  Paris avec les enfants, ces 20 et 21 aoĂ»t 2022Au fil de l'avancĂ©e du spectacle, de nombreux coups de théùtre arrivent et de nouveaux Ă©lĂ©ments de l'enquĂȘte sont rĂ©vĂ©lĂ©s, ce qui plaira Ă  coup sĂ»r aux petits Sherlock Holmes en herbe ! Aventure, suspense et humour sont les ingrĂ©dients de cette comĂ©die policiĂšre doublĂ©e d'une histoire interactive pour les enfants, Ă  partir de 4 ans.
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ComĂ©die Ă  3 comĂ©diens pour toute la famille Ă  partir de 4 retrouvera le Prince Aubert ? Au fil du spectacle, les indices sont donnĂ©s, tantĂŽt aux enfants, tantĂŽt Ă  la Princesse policiĂšre. Il ne reste qu’à recoller les morceaux. Humour et suspense sont au rendez-vous de cette histoire interactive, palpitante pour les enfants et hilarante pour les Prince Aubert a Ă©tĂ© fait prisonnier par Madame Moche. Celle-ci projette Ă  prĂ©sent d’empoisonner le Roi. Tout le Royaume est en danger. Le temps est compté La Princesse Pervenche, sorte de FantĂŽmette en herbe, va-t-elle deviner le complot qui se trame et dĂ©couvrir Ă  temps le vrai visage de Madame Moche ?Vrai garçon manquĂ©, la Princesse dĂ©tective plaĂźt autant aux filles qu’aux personnages de la mĂ©chante et du prince sont, eux, particuliĂšrement ridicules et vraie intrigue policiĂšre, pendant laquelle les enfants vont saisir les indices au fur et Ă  mesure avec, en gĂ©nĂ©ral, une longueur d’avance sur la jeune hĂ©roĂŻne !Cette comĂ©die qui en est Ă  sa 6Ăšme annĂ©e de succĂšs, entraĂźne les enfants dans une aventure pleine de rires et de rebondissements. C’est aussi un petit bijou d’humour pour les parents qui ne s’ennuient jamais. Fous rires garantis !Du mĂȘme auteur voir Ă©galement Ă  Paris La Princesse au petit pois dans la tĂȘte », la Princesse Rose et le retour de l’Ogre », Toutankhamon et le scarabĂ©e d’or », Pierre et la Princesse ensorcelĂ©e » LemusĂ©e d'art et traditions populaires: le chĂąteau a disparu mais sur sa place, la mairie est installĂ©e dans le bĂątiment Renaissance de la chancellerie. Le musĂ©e, Ă  l’étage, prĂ©sente les arts et traditions populaires, objets domestiques, avec des exemples du riche mobilier et des costumes de l’époque. On remarque une trĂšs belle collection de meubles polychromes. 15 mai 1918 – Le QM canonnier Ă©lĂšve pilote Georges, RenĂ©, Louis PACATTE se tue dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut de l’école de pilotage du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l FrĂ©jus. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait dĂ©collĂ© de Djibouti pour un vol d’entraĂźnement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du mĂȘme cĂŽtĂ©. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se dĂ©sintĂšgre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP Ă©lectronicien de bord Michel, Raymond, RenĂ© BLANDIN, PM Ă©lectronicien de bord AndrĂ©, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt Ă©lectronicien de bord Eric, HervĂ©, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de rĂ©serve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mĂ©canicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM Ă©lectronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mĂ©canicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mĂ©canicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, AloĂŻs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Didier FORMET, MP Ă©lectronicien d’aĂ©ronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM Ă©lectromĂ©canicien d’aĂ©ronautique Dominique PY. 16 mai 1928 – A la suite de l’incendie d’un de ses moteurs et en tentant d’atterrir en urgence, un Farman 65 Goliath de l’escadrille 4B2 basĂ©e Ă  Karouba, s’écrase au sol Ă  Bordj Poil, Ă  8 kilomĂštres au nord d’El Ariana, prĂšs de Tunis. L’équipage composĂ© du Mot2 arrimeur pilote Jean, Albert, Marcel ARROUAYS, de l’Asp de rĂ©serve observateur Jean-Louis, Marie, AndrĂ© BÉZARD, chef de bord, du QM radio volant Henri, Joseph GOBERT, du SM mĂ©canicien pilote Georges, Louis, RenĂ© PAPIN et du QM mĂ©canicien volant Paul ROHR, pĂ©rit tout entier dans l’accident. 26 avril 1944 – Quelques minutes aprĂšs son dĂ©collage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’üle de GorĂ©e, un Short Sunderland III s/n DV985 – I de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvĂ©s parmi les dĂ©bris flottants Ă  la surface. L’équipage Ă©tait composĂ© de l’EV1 de rĂ©serve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de rĂ©serve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mĂ©canicien volant Germain, RenĂ©, ClĂ©ment COSSET, le Mt mĂ©canicien volant ThĂ©odore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, LĂ©opold GIMAT, le QM2 radio volant RenĂ©, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mĂ©canicien volant RenĂ©, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, HonorĂ© LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER. 17 juin 1929 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement en solo, le Caudron 59 du quartier-maĂźtre Albert PARANTHOËN, Ă©lĂšve pilote Ă  l’école de l’AĂ©ronautique militaire d’Istres, entre en collision avec un appareil du mĂȘme type. Les deux appareils emmĂȘlĂ©s s’abattent sur le terrain. Le QM ParanthoĂ«n, gravement blessĂ©, est transportĂ© Ă  l’hĂŽpital Michel LĂ©vy de Marseille oĂč il dĂ©cĂšde quelques heures aprĂšs son admission. 30 juillet 1918 – Quelques instants aprĂšs avoir dĂ©collĂ© pour une patrouille au large de Calais, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch n° 921 – du PC de Calais, pique brutalement Ă  la verticale et s’abat en mer Ă  300 mĂštres de la plage. Les corps des deux hommes de l’équipage, le QM fusilier pilote Yves, Marie PARANTHOËN et le Mot2 mĂ©canicien observateur Laurent, Emile LE TYNEVEZ, sont retrouvĂ©s le 3 aoĂ»t, Ă©chouĂ©s sur une plage prĂšs de Calais. 26 septembre 1952 – Le QM2 Ă©lĂšve pilote Henri PARÉ, en stage aux Etats-Unis, est mortellement blessĂ© lorsque le North American SNJ-6 BuAer 112287 qu’il pilotait dĂ©croche en virage s’écrase au sol en finale d’atterrissage, Ă  Saufley Field, aĂ©rodrome satellite de la NAS de Pensacola, Floride. 24 juin 1956 – Une formation de F4U-7 Corsair de la flottille effectue une mission de bombardement en semi-piquĂ© dans la rĂ©gion de Fedj M’Zala, dĂ©partement de Constantine. Le pilote de l’un des appareils BuAer 133719 – l’EV1 Pierre, Jean-Marie PARENT, voulant probablement ĂȘtre plus prĂ©cis dans son tir, ne redresse pas Ă  temps et s’écrase prĂšs de l’objectif. Le corps est rĂ©cupĂ©rĂ© le lendemain par un hĂ©licoptĂšre et transportĂ© Ă  l’hĂŽpital de Constantine. 15 mai 1985 – Pendant une sĂ©ance d’entraĂźnement Ă  la voltige, un Mudry CAP 10B n° 112 de l’escadrille 51S, s’abat sur le terrain de Rochefort-Soubise. Ses deux occupants, le QM2 mĂ©canicien, Ă©lĂšve pilote Alain, Olivier, Yves LECOUVREUR, et le MP pilote Roland, Albin, Vincent PARLATO, sont tuĂ©s sur le coup. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 dĂ©colle de Madjaloun Liban. Elle est composĂ©e de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignĂ©e est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, oĂč la garnison française rĂ©siste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptĂ©e par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inĂ©gal et, l’un aprĂšs l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs Ă©quipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maĂźtres vont pĂ©rir et il n’y aura que quatre survivants. La composition des Ă©quipages Ă©tait la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, LĂ©on BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, AndrĂ© PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, AimĂ© LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier EugĂšne, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant AndrĂ©, Yves, Marie 274 – QM1 mĂ©canicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tuĂ©s en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis LainĂ©, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessĂ©s, Ă  l’atterrissage forcĂ© de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire GuĂ©ret, rĂ©ussissent Ă  sauter en parachute. 26 fĂ©vrier 1917 – Un hydravion Donnet-Denhaut n° 60 – du CAM de Bizerte, est contraint Ă  un amerrissage forcĂ© Ă  la suite d’une panne de moteur. La mer est forte et l’appareil capote au contact. Le pilote est sauvĂ© par le youyou du torpilleur 274 mais le Mot1 mĂ©canicien observateur Baptistin, EugĂšne, Fernand PARRIMOND coule Ă  pic avant l’arrivĂ©e des sauveteurs. Son corps ne sera pas retrouvĂ©. 3 mai 1918 – Quelques instants aprĂšs avoir dĂ©collĂ© du CAM de Boulogne-sur-Mer, un hydravion Tellier 200ch n° 136 – est victime d’un blocage des gouvernes et, malgrĂ© les efforts de son pilote, il s’abat en mer et capote. La mer est assez grosse mais l’hydravion sectionnaire parvient Ă  amerrir correctement et sauve le pilote accrochĂ© Ă  un flotteur mais l’observateur, l’EV2 Olivier, Jean, François, Marie de PARSCAU du PLESSIX, prisonnier de la coque retournĂ©e, disparaĂźt avec elle lorsqu’elle coule. 19 mai 1940 – Les escadrilles de bombardement en piquĂ© AB2 et AB4, basĂ©es Ă  Berck Pas-de-Calais ont reçu pour mission d’attaquer un rassemblement de vĂ©hicules et de blindĂ©s au carrefour routier de Berlaimont dans le Nord. Lorsque les vingt Loire-Nieuport arrivent sur l’objectif, ils sont accueillis par les tirs nourris de la Flak lĂ©gĂšre qui vont provoquer de lourdes pertes. Sur les vingt pilotes engagĂ©s, neuf ne rentreront pas Ă  leur base dont trois trouveront la mort. Le Mt pilote Louis, Jules, Gabriel PASCAL est tuĂ© sur le coup lorsque son LN 401 n° 11 – dĂ©semparĂ©, s’écrase verticalement dans la pĂąture dite de Zulmar Cartignies, dans la commune de Landrecies Nord. Le Mt pilote Eloi, Raoul, Georges TÉOULET de l’AB4 est mortellement blessĂ© en vol Ă  bord de son LN 411 n° 3 – L’appareil se pose seul au lieu-dit Champ Garnier, dans la commune de Fontaine-au-Bois Nord. Le SM2 pilote Auguste François GOASGUEN qui a pu Ă©chapper au piĂšge de la Flak, est abattu par erreur Ă  Etreux Aisne par la DCA française. Son LN 411 n° 11 – s’écrase en feu sur une maison, le tuant sur le coup. 31 octobre 1919 – Un hydravion Tellier 200ch n° 54 – du CAM de Toulon, est accidentĂ© Ă  l’amerrissage en rade des Vignettes. Le QM mĂ©canicien observateur Lucien, Fernand PATINGRE est tuĂ© sur le coup. Le pilote, blessĂ©, est recueilli par les embarcations de secours. 28 novembre 1958 – En tentant de rejoindre le terrain de TĂ©lergma au retour d’une mission de reconnaissance armĂ©e, deux F4U-7 Corsair de la flottille pris sous la couche nuageuse, essaient de franchir le djebel Mesbaouda en pĂ©nĂ©trant dans les nuages. Mais ils n’ont pas pris assez d’altitude et percutent le relief montagneux prĂšs de Z’Mala, Ă  12 km au NE de Corneille, prĂšs de Batna. Les deux pilotes, l’EV1 de rĂ©serve Pierre, EugĂšne, Joseph PATRIS F4U-7 BuAer 133723 – et le SM2 Guy, Ferdinand SAINT VANNE F4U-7 BuAer 133682 – sont tuĂ©s sur le coup. Leurs corps, rĂ©cupĂ©rĂ©s plus tard par des troupes au sol, seront ramenĂ©s Ă  TĂ©lergma. 19 dĂ©cembre 1943 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ710 – de l’escadrille 1B de la 2Ăšme flottille de bombardement avait dĂ©collĂ© du terrain de Dakar-Oukam pour un mission de protection de convoi. Les conditions mĂ©tĂ©orologiques sont trĂšs mauvaises et, incapable d’assurer correctement sa mission, le chef de bord annonce par radio qu’il l’interrompt et rentre Ă  sa base. Un autre message signale que les grenades ASM ont Ă©tĂ© larguĂ©es. Vers 14 heures, le Wellington est Ă  la verticale de Ouakam et entame un long virage pour se prĂ©senter dans l’axe de la piste. Des tĂ©moins s’aperçoivent alors qu’un des moteurs Ă©met une fumĂ©e noire. A 14 h 24, l’avion percute la mer et explose Ă  deux milles de la cĂŽte. Des embarcations de pĂȘcheurs puis des vedettes de la Royal Navy se portent immĂ©diatement sur les lieux de l’accident mais ne trouvent aucun survivant. L’équipage Ă©tait composĂ© des QM1 radio volant Auguste, Joseph AQUADRO, EV1 pilote Victor, Louis, Henri CERINI, chef de bord, SM2 pilote Alexandre, EugĂšne, CĂ©lestin CRESTEL, QM2 radio volant GaĂ©tan, Jean, Joseph DUCLOS, PM pilote Henri, Denis MICHEL, QM mĂ©canicien volant Raymond PATUREAU et Asp de rĂ©serve Henri, Antoine PUCHOL, observateur. Les corps de Cerini, Michel et Patureau ne seront pas retrouvĂ©s. 21 dĂ©cembre 1923. C’est cette nuit lĂ  que se produit la plus grave catastrophe de l’aĂ©ronautique militaire de notre pays. Le 18 dĂ©cembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait Ă©tĂ© remis Ă  la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes Ă  son bord. Il atteint In-Salah dans les dĂ©lais prĂ©vus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pĂȘcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappĂ© par la foudre qui a enflammĂ© ses ballonnets d’hydrogĂšne, le Dixmude et tout son Ă©quipage s’abĂźment en mer Ă  quelques milles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancĂ©es par la Marine italienne et par des bĂątiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni mĂȘme de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pĂȘcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de GrenĂ©dan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvĂ© ultĂ©rieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes – 40 membres de l’équipage Les Mot2 mĂ©caniciens d’aĂ©ronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mĂ©caniciens d’aĂ©ronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant AndrĂ© CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mĂ©canicien volant NoĂ«l, Marie COROUGE, le QM mĂ©canicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mĂ©caniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mĂ©canicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manƓuvre pilote de direction RenĂ©, FĂ©lix, Marie HAMON, le Mot2 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mĂ©canicien volant François, ClĂ©ment JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mĂ©canicien volant Jean, François, AimĂ©, EugĂšne LIZÉE, le QM mĂ©canicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mĂ©canicien volant RenĂ©, Henri MOMBERT, le QM mĂ©canicien volant KlĂ©ber, EugĂšne, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mĂ©canicien volant Charles, Joseph, RenĂ©, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et GĂ©raud, François, Marie ROCHER, le Mot mĂ©canicien volant Jean, EugĂšne, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, AimĂ©, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mĂ©canicien volant Jean, LĂ©opold VINCENOT.– 10 passagers le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, LĂ©on, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 LĂ©opold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, AurĂ©lien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON, adjoint au Chef du Service central de l’AĂ©ronautique. 2 septembre 1969 – AprĂšs avoir dĂ©collĂ© du terrain d’HyĂšres pour un vol de nuit Ă  basse altitude, un Étendard IVM n° 65 de la flottille 17F percute la mer au large. Son pilote, le PM Maurice, Ferdinand PAUGET, est portĂ© disparu, prĂ©sumĂ© mort en mer. 23 mai 1940 – L’escadrille T2 a reçu l’ordre d’attaquer une colonne de blindĂ©s ennemis entre Samer et Boulogne-sur-Mer. Au moment oĂč les LatĂ©coĂšre 298 entament leur piquĂ© pour attaquer une batterie d’artillerie dans la rĂ©gion d’Hesdigneul Pas-de-Calais, ils sont interceptĂ©s par une formation de Messerschmitt Bf 109. Le LatĂ© n° 93 est gravement touchĂ© mais, bien que blessĂ©, son pilote parvient Ă  amerrir d’urgence devant Boulogne-sur-Mer et se jette Ă  l’eau ainsi que le radio navigant. Le troisiĂšme membre de l’équipage, le QM2 mĂ©canicien volant Raymond COUCAL, probablement tuĂ© en vol, coule avec l’appareil. L’appareil n° 3 – du LV Lamiot, commandant l’escadrille, moteur en feu, est Ă©galement obligĂ© d’amerrir en catastrophe devant Boulogne-sur-Mer. Le SM mitrailleur bombardier Gabriel, Yves, François, Marie PAUL qui a Ă©tĂ© tuĂ© en vol par les rafales ennemies, coule avec l’hydravion. Un troisiĂšme appareil enfin n° 4 – Ă©galement touchĂ© par les chasseurs, doit se poser, moteur arrĂȘtĂ©, dans un champ sur le territoire de la commune de Boisjean Pas-de-Calais. L’un des membres de l’équipage, le QM mitrailleur bombardier Georges TASSEL, qui a Ă©tĂ© griĂšvement blessĂ© par les tirs ennemis, meurt quelques minutes aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©gagĂ© de l’épave. 24 janvier 1955 – Alors qu’à l’issue d’un exercice de tir en vol, il se prĂ©sente pour le break » sur le terrain annexe de Barin Field, un North American SNJ-5B BuAer 91038 de la NAS de Pensacola, Floride, quitte brutalement la formation, accentue son virage en perdant de l’altitude et s’écrase au sol. Son pilote, le Mot2 Ă©lĂšve pilote AndrĂ©, Louis PAULHE, est tuĂ© dans l’accident. 12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viĂȘt minh autour du point d’appui Anne Marie» dans la cuvette de DiĂȘn BiĂȘn Phu, un PB4Y Privateer de la flottille BuAer 59774 – est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, AimĂ© BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, AndrĂ© GAUTHIEZ, le SM2 mĂ©canicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mĂ©canicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur HervĂ©, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portĂ©s disparus, prĂ©sumĂ©s tuĂ©s dans la chute de leur appareil. 19 dĂ©cembre 1952 – Parti du terrain de Cat Bi HaĂŻphong pour une mission de reconnaissance dans le Haut-Laos, un SB2C Helldiver de la flottille BuAer 89452 – percute le flanc d’une montagne prĂšs de Phou NoueĂŻ Cha, dans la rĂ©gion de Sam Neua. Les lieux de l’accident Ă©tant inaccessibles, l’équipage composĂ© du Mt mĂ©canicien volant AndrĂ©, Fernand, Henri LOTODÉ et de l’EV1 de rĂ©serve pilote Jacques, Lucien PAUNET, trĂšs certainement tuĂ© sur le coup, est portĂ© disparu. 16 aoĂ»t 1932 – Un Farman 168 Goliath n° 88 – venait de dĂ©coller du lac de Bizerte pour un vol de nuit lorsqu’il est victime d’une baisse de puissance alors qu’il survole la terre. Contraint Ă  un atterrissage de fortune, droit devant lui, sans que le pilote ne distingue le sol, l’appareil a la malchance de heurter de ses flotteurs une ligne Ă©lectrique prĂšs d’El Azib. DĂ©sĂ©quilibrĂ©, il bascule, touche le sol et prend feu. Ses quatre occupants, le SM radio volant Georges, Claude BERROCHE, le QM mĂ©canicien volant Gabriel, Paul, Joseph DELAHAYE, le CC pilote Jean, Henri, Marie DESPORTES, commandant la 4Ăšme Flottille de bombardement et le Mt mĂ©canicien pilote Marcel, Julien, François PÉAN, pĂ©rissent dans l’incendie. 2 fĂ©vrier 1918 – ImmĂ©diatement aprĂšs son dĂ©collage, un hydravion de chasse Hanriot HD 2 n° 201 – du CAM de Dunkerque, s’engage dans un virage trĂšs serrĂ©, dĂ©croche et s’abat dans un des bassins du port. Lorsque les secours parviennent Ă  dĂ©gager le pilote, l’EV1 auxiliaire Daniel, Pierre PÉLICHET, il a cessĂ© de vivre. 3 novembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille s/n EJ163 – normalement basĂ©e Ă  Dakar-Bel-Air Ă©tait Ă  Saint-Mandrier pour participer Ă  un exercice de recherche ASM. Au dĂ©collage, par mer dĂ©jĂ  formĂ©e, il entre en rĂ©sonance avec la houle et, au troisiĂšme rebond, il se casse en deux au niveau du bord d’attaque de la voilure. La partie avant de la coque coule immĂ©diatement. Cette accident coĂ»te la vie Ă  quatre membres de l’équipage, le PM pilote Jean, Paul, Jacques AYRAL, le Mt pilote Jean, Francis CAOUS, le SM1 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique François LICHOU et l’EV1 pilote Georges, Roch, Henri, LĂ©on PÉLISSIER-COMBESCURE, chef de bord. L’EV1 PĂ©lissier-Combescure, qui avait pu se dĂ©gager, avait plongĂ© pour essayer de sauver les hommes prisonniers de l’épave. Les onze autres occupants de l’appareil, blessĂ©s pour la plupart, sont rĂ©cupĂ©rĂ©s par les secours arrivĂ©s sur les lieux de l’accident. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 dĂ©colle de Madjaloun Liban. Elle est composĂ©e de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignĂ©e est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, oĂč la garnison française rĂ©siste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptĂ©e par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inĂ©gal et, l’un aprĂšs l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs Ă©quipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maĂźtres vont pĂ©rir et il n’y aura que quatre survivants. La composition des Ă©quipages Ă©tait la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, LĂ©on BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, AndrĂ© PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, AimĂ© LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier EugĂšne, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant AndrĂ©, Yves, Marie 274 – QM1 mĂ©canicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tuĂ©s en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis LainĂ©, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessĂ©s, Ă  l’atterrissage forcĂ© de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire GuĂ©ret, rĂ©ussissent Ă  sauter en parachute. 4 septembre 1954 – Le SM2 pilote Louis, Albert, Henri PELLEREAU, aux commandes d’un F6F Hellcat de l’escadrille BuAer 78427 – effectue une sĂ©ance de voltige relative. AprĂšs une vrille rĂ©cupĂ©rĂ©e, le moteur se met Ă  fumer avant de s’arrĂȘter complĂštement Ă  environ 150 m d’altitude. L’appareil s’écrase, presque Ă  la verticale, prĂšs du village de Saint-Maur, Ă  20 kilomĂštres au SO de la BAN de Lartigue, provoquant la mort instantanĂ©e de son pilote. 26 aoĂ»t 1944 – DĂ©collĂ© d’Arzew AlgĂ©rie pour une mission de surveillance, un LatĂ©coĂšre 298 n° 10 – de l’escadrille 2S est repĂ©rĂ©, par des guetteurs, tombant Ă  la mer au large du cap Falcon. Les secours envoyĂ©s sur les lieux de l’accident ne trouvent aucun dĂ©bris. L’appareil est portĂ© disparu et son Ă©quipage, composĂ© du MP pilote Marcel, Louis, Marie, AndrĂ© HAMET, du SM1 radio volant Roger, Marcel MENOUX et du SM2 mĂ©canicien volant Jean, Marie PELLETIER, prĂ©sumĂ© mort en mer. 21 juin 1941 – L’escadrille 5T, dĂ©signĂ©e pour servir au SĂ©nĂ©gal, dĂ©colle de Berre pour Arzew en AlgĂ©rie, premiĂšre Ă©tape de son voyage. A 80 milles environ dans le 210° du cap Couronne Bouches-du-RhĂŽne, la formation traverse un banc de brouillard. A sa sortie, un des LatĂ©coĂšre 298 n° 80 – a disparu. Les recherches ne donneront aucun indice et l’équipage de l’appareil, composĂ© du SM1 radio volant Marius MOULY, du PM pilote Roger, Louis, Jules PELLOUIN et de l’OE2 observateur Jules, Victor, Marie QUINIO, chef de bord, est portĂ© disparu, prĂ©sumĂ© mort en mer. 21 mai 1929 – L’EV1 de rĂ©serve pilote Jean, Joseph GENEST, et l’EV1 pilote Robert, Alexandre, Henri PELTIER effectuaient un vol d’entraĂźnement Ă  la voltige Ă  bord d’un Morane Saulnier 130 n° 5 du cours de chasse du CAM FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l. A l’issue d’une vrille non rĂ©cupĂ©rĂ©e, l’appareil s’écrase dans le quartier de Valescure, tuant ses deux occupants. 27 septembre 1933 – Alors qu’il s’apprĂȘtait Ă  atterrir sur le terrain d’HyĂšres, un Levasseur PL 10 n° 33 de la SEBA s’abat sur la plage au lieu-dit L’Ayguade. Ses deux occupants, le SM mĂ©canicien pilote Henri LE GALL et le SM mitrailleur bombardier François, Marie PENNEC, sont tuĂ©s sur le coup. 10 mars 1981 – Quelques instants aprĂšs avoir dĂ©collĂ© de l’aĂ©rodrome de Hahaya Ă  Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° 29 de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrĂŽle, il s’écrase prĂšs de la localitĂ© de M’BoudĂ©, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son Ă©quipage normal, l’appareil transportait une Ă©quipe technique d’entretien. L’équipage Ă©tait composĂ© du Mt Ă©lectronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM Ă©lectronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt Ă©lectronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM Ă©lectronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aĂ©rien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, GĂ©rard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt Ă©lectronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, RenĂ©, Pierre MOUGENOT, commandant d’aĂ©ronef, du MP mĂ©canicien de bord EugĂšne, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mĂ©canicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 Ă©lectronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM Ă©lectromĂ©canicien d’aĂ©ronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Yves HENNEQUART, du QM1 Ă©lectronicien d’aĂ©ronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 Ă©lectronicien d’équipement Eric LOURENÇO. 20 juillet 1940 – Une section de deux Vought 156F de l’escadrille AB3 survole la mer Ă  trĂšs basse altitude devant la ville de BĂŽne. Le chef de la section descend trop bas et l’appareil de son ailier n° 39 – percute la surface de l’eau. Son pilote, le SM Xavier, Joseph, Jean PERDOMO, assommĂ© par le choc, pĂ©rit noyĂ© Ă  son poste, malgrĂ© les efforts de son Ă©quipier pour le dĂ©gager. 20 dĂ©cembre 1951 – Au cours d’un atterrissage sur le terrain de Tan Son Nhut Cochinchine, un Consolidated P4Y Privateer de la flottille BuAer 59663 – est accidentĂ© en bout de piste. L’équipage parvient Ă  Ă©vacuer l’appareil par ses propres moyens sauf le SM2 pilote Edouard, AndrĂ©, Joseph PERRAULT qui est retrouvĂ© inanimĂ© dans l’épave par les sauveteurs. EvacuĂ© immĂ©diatement vers l’hĂŽpital Grall de Saigon, il dĂ©cĂšde pendant son transfert. 23 juin 1938 – Alors qu’il dĂ©colle de l’aĂ©rodrome de Beaumont-la-Ronce Indre-et-Loire, un Potez 540 n° 135 de la section de mouvements aĂ©riens de Villacoublay de l’armĂ©e de l’Air, est accidentĂ© et entiĂšrement dĂ©truit. Ses sept occupants sont tuĂ©s sur le coup et, parmi eux, le LV pilote RenĂ©, ClĂ©ment, François PERRET, en poste au ministĂšre de l’Air. 12 mars 1924 – Au dĂ©collage de la Charente Ă  Rochefort, un hydravion LiorĂ© et Olivier de l’Ecole du personnel volant d’Hourtin codĂ© embarque un flotteur et capote. Le QM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Roger GRELAUD est tuĂ© sur le coup. Les deux autres occupants, le QM mĂ©canicien pilote Gabriel, Fernand CRETIN et le LV observateur François, Jean PERRICHON, commandant du CAM d’Hourtin, griĂšvement blessĂ©s sont transportĂ©s Ă  l’hĂŽpital maritime de Rochefort oĂč le LV Perrichon dĂ©cĂšde quelques heures plus tard. Le QM Cretin survivra lui, jusqu’au 12 avril. 14 aoĂ»t 1929 – A l’issue d’un vol d’entraĂźnement, un Latham 43 n° 25 – de l’escadrille 3E1, capote en amerrissant sur l’étang de Berre. Pris sous la coque retournĂ©e, ses trois hommes d’équipage, le Mt mĂ©canicien volant Marcel, AndrĂ©, Adolphe, Yvon PERRIN, le QM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Jean, François RAOUL et le SM mĂ©canicien pilote Alexandre RODIER, pĂ©rissent noyĂ©s. 17 avril 1934 – À l’issue d’un vol d’entraĂźnement de nuit, un Farman 168 Goliath de l’escadrille 4B3 s’écrase au sol en tentant d’atterrir sur le terrain de Sidi-Ahmed prĂšs de Bizerte. Les cinq membres de l’équipage, les QM arrimeurs pilotes Henri, François, Emile BOURGOIS et Marcel, Joseph CHAVASSE-FRETTE, le Mt arrimeur pilote Camille, Hyacinthe, Yves, RenĂ©, Marie LE LAY, le QM radio volant Raymond MATTEI et le QM mĂ©canicien volant Louis, Gaston PERRINE, pĂ©rissent dans l’accident. 20 aoĂ»t 1916 – Le SM Ă©lectricien pilote Charles, Louis, Emile, Joseph, Marie PERRON et son observateur, le SM mĂ©canicien GuesnĂ©, du CAM de Dunkerque, effectuent une reconnaissance du port d’Ostende. Leur hydravion FBA 150 ch n° 316 – est touchĂ© par des tirs venus de la cĂŽte et s’abat en mer. L’observateur, blessĂ©, est capturĂ© par les Allemands. Le corps de Perron sera retrouvĂ© en mer le 6 septembre par un bĂątiment de guerre nĂ©erlandais. 4 fĂ©vrier 1970 – Quelques minutes aprĂšs son dĂ©collage de la BAN de Lann BihouĂ© pour participer Ă  un exercice tactique avec l’escadre de l’Atlantique, un P2V-7 Neptune BuAer 147571 de la flottille 25F se met en virage serrĂ© sur la gauche. MalgrĂ© semble-t-il, tous les efforts des pilotes pour le redresser, l’appareil s’écrase au sol dans la commune de Ploemeur, prĂšs du hameau de Kergantic Morbihan. Ses douze membres d’équipage, le Mt Ă©lectronicien de bord Jacques, ClĂ©ment, Auguste BIGOT, le PM navigateur aĂ©rien Michel, RenĂ© BIOUX, le LV pilote Henri, Robert, Charles DEBRAY, commandant d’aĂ©ronef, le PM Ă©lectronicien de bord GĂ©rard, Gaston, Jean, Marie DONAGHY, le Mt radio de bord Jean, Pierre FRANGE, le Mt mĂ©canicien de bord Jean, Marie, Alain FRISON, le PM pilote Louis, Michel JACQUEMARD, le PM mĂ©canicien de bord Pierre, Joseph, Marie LE GUERROUÉ, les PM Ă©lectroniciens de bord Achille, François LE RIBLAIR et RenĂ©, François MILEWSKI, le PM mĂ©canicien de bord Roger PERUCCHIETTI et l’EV2 navigateur Yvon, Simon SIVY, sont tous tuĂ©s sur le coup dans l’accident. 5 mai 1927 – Un Farman 61 Goliath immatriculĂ© F-ADFN parti de Dakar pour une traversĂ©e de l’Atlantique sud, disparaĂźt au cours de la tentative. Un radeau formĂ© d’une partie du train d’atterrissage est dĂ©couvert quelques semaines plus tard prĂšs des cĂŽtes brĂ©siliennes, laissant penser que l’appareil a bien traversĂ© l’Atlantique mais a Ă©tĂ© contraint Ă  un atterrissage forcĂ© sur une partie dĂ©solĂ©e du pays. L’équipage Ă©tait composĂ© du LV pilote HervĂ©, Marcel MOUNEYRÈS, en congĂ© de la Marine, du QM mĂ©canicien volant Louis, Antoine, Jules PETIT, en permission de l’escadrille 5B2 et du Cne de rĂ©serve de l’AĂ©ronautique militaire Jacques de SERRE de SAINT ROMAN. 19 mars 1929 – Un hydravion Latham 43 n° 18 de l’escadrille 3E1 est accidentĂ© Ă  l’amerrissage sur l’étang de Berre, provoquant la mort d’un des membres de son Ă©quipage, le SM arrimeur pilote Albert, Roland PETITDEMANGE . 31 janvier 1960 – Au cours d’un changement de formation en prĂ©paration Ă  l’atterrissage sur le terrain de Port-Lyautey aprĂšs un exercice de tir, un DH Vampire VB de l’escadrille n° 10176 – heurte en vol un des autres appareils et s’écrase en mer, Ă  12 milles dans le 010° de MĂ©hĂ©dia. Son pilote, l’EV1 Germain, Louis PETOT, est portĂ© disparu, prĂ©sumĂ© mort en mer. L’autre Vampire, lĂ©gĂšrement endommagĂ©, parvient Ă  rejoindre sa base et Ă  atterrir normalement. 1er octobre 1916 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement, un Breguet-Michelin n° 4 de l’escadrille BM118 de l’AĂ©ronautique militaire, s’abat au sol Ă  Vitry-le-François Haute-Marne. L’équipage, composĂ© du Mot2 mĂ©canicien observateur Jean, AndrĂ© PEYRISSON et du MdL pilote Alphonse VITRY, est tuĂ© sur le coup. 22 aoĂ»t 1916 – L’EV1 de rĂ©serve ThĂ©odore, Jean, FĂ©lix PHILIPPE, Ă©lĂšve pilote au CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l effectuait un vol d’entraĂźnement en solo Ă  bord du FBA 100 ch codĂ© 0 lorsque, pour une cause inconnue, son appareil tombe Ă  la mer Ă  trois milles dans le sud-est de Saint-RaphaĂ«l. La vedette de sauvetage, rapidement arrivĂ©e sur les lieux de la chute, ne trouve qu’un corps sans vie. 26 mai 1955 – Un F6F-5 Hellcat de l’escadrille basĂ©e Ă  Khouribga BuAer 79825 – et pilotĂ© par le QM2 pilote Claude, Yves PICARD effectue des passes de tir simulĂ© sur un convoi militaire qui circule sur la route qui va d’El Kelaa Ă  Bouguerir Maroc. Au cours de la derniĂšre passe, il s’engage dans un piquĂ© trop accentuĂ© dont il ne peut sortir et s’écrase sur la route entre deux vĂ©hicules, tuant sur le coup son pilote et blessant deux personnes au sol. 5 dĂ©cembre 1917 – Le QM mĂ©canicien observateur Henri, Camille, Alfred, DĂ©sirĂ© PICARD disparaĂźt dans la chute dans l’étang d’Hourtin d’un hydravion FBA 100ch Ă  bord duquel il Ă©tait passager. Son corps ne sera retrouvĂ© et identifiĂ© que le 26 avril 1918. 11 janvier 1933 – A la fin d’un vol d’exercice, un CAMS 55 de l’escadrille 4E1 n° 13 – 4 s’apprĂȘte Ă  amerrir sur le lac de Bizerte lorsqu’il est pris par dans un grain violent. DĂ©sĂ©quilibrĂ© par une forte rafale, il Ă©chappe au contrĂŽle de son pilote et heurte d’une aile une falaise de la baie des CarriĂšres et s’abat au sol. Quatre des occupants trouvent la mort dans cet accident le SM radio volant Jean, Lucien AUFFRAY, le QM mĂ©canicien volant Jean, Yvon, Marie DOUÉRIN, le LV pilote Georges, Marie, Charles DUPUY, commandant en second de l’escadrille et de l’EV1 de rĂ©serve pilote Gilbert, Pierre, Henri, François PICHERY, chef de bord. 12 mai 1948 – Pendant un vol de rĂ©ception par un Ă©quipage de l’ERC, au cours d’une manƓuvre de retournement, la verriĂšre d’un Bloch 175T n° 45 Ă©clate. Le pilote, aveuglĂ© par des Ă©clats et blessĂ© aux jambes donne l’ordre d’évacuation puis saute en parachute. Le radio le suit quelques secondes plus tard mais le Mt mĂ©canicien volant Robert, Roger PICT, ne se dĂ©gage de son habitacle que beaucoup plus tard et trop bas pour permettre Ă  son parachute de s’ouvrir normalement. Il tombe sur le territoire de la commune de Plou Cher et est tuĂ© sur le coup. 1er aoĂ»t 1939 – Un hydravion CAMS 37E n° 36, du cours d’application Ă  la mer de Berre, est victime d’un accident alors qu’il effectue des amerrissages devant Bormes-les-Mimosas Var. L’un de ses trois occupants, le QM pilote Bernard, Yves CHESNEAU, est tuĂ© sur le coup. Les deux autres, le SM pilote Pierre, Charles, Jacques BOURGUET et le QM pilote RenĂ©, Alfred, Ernest PIERRARD, griĂšvement blessĂ©s, sont Ă©vacuĂ©s vers l’hĂŽpital Sainte-Anne Ă  Toulon oĂč ils dĂ©cĂšdent le lendemain de leur admission. 16 septembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille s/n ML851 – a dĂ©collĂ© du plan d’eau de la BAN de Dakar-Bel-Air pour un exercice de grenadage rĂ©el. Quelques instants plus tard, une explosion sourde est signalĂ©e Ă  environ 17 milles dans le 273° du feu des Almadies et, au mĂȘme instant, l’appareil cesse ses Ă©missions radios. Les secours dĂ©pĂȘchĂ©s immĂ©diatement dĂ©couvrent des dĂ©bris Ă©pars au milieu desquels flottent des corps. Il n’y a bien entendu aucun survivant. L’hypothĂšse la plus vraisemblable est que l’une des grenades a explosĂ© prĂ©maturĂ©ment au contact avec l’eau alors que l’appareil volait Ă  basse altitude. L’équipage Ă©tait composĂ© de dix hommes, le SM2 radio volant Marc, Alexandre AUBERT, le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Auguste, Pierre BUSSIÈRES, le SM2 mĂ©canicien volant Robert CORVAISIER, l’EV1 de rĂ©serve pilote Jean DUPIN, l’IM2 volant Jean GUÉNÉGUÈS, Mt pilote LĂ©on, Marie HAMON, l’EV1 de rĂ©serve pilote Louis, Romain MARMONIER, commandant d’aĂ©ronef, le QM2 Ă©lectricien d’aĂ©ronautique François, Jean MÉVEL, le QM2 mĂ©canicien volant Raymond, Lucien, Joseph MOUGIN et le QM2 armurier d’aĂ©ronautique Lucien, AndrĂ© PIERRE. 12 aoĂ»t 1945 – En essayant de percer la couche nuageuse pour amerrir sur le lac de Constance, un LatĂ©coĂšre 298 de l’escadrille 3S n° 49 – percute une colline prĂšs de la localitĂ© d’Uhldingen Ă  12 kilomĂštres au nord-ouest d’Immenstaad Allemagne. Ses trois occupants, le SM2 pilote Joseph, Corentin, Marie GUICHAOUA le LV pilote Jacques, Marie PIERRET, commandant l’escadrille 3S, et le Mt mĂ©canicien volant Guillaume, Nicolas, Jean-Marie SELLIN, trouvent la mort dans l’accident. 13 aoĂ»t 1917 – Au cours d’une ascension d’entraĂźnement en captif dans la rade de Brest, l’EV2 observateur de captif, AndrĂ©, LĂ©on, Gustave, Edmond PILET fait une chute de la nacelle. Recueilli et transportĂ© sur le croiseur Montcalm, il meurt malgrĂ© les soins prodiguĂ©s par le mĂ©decin du bord. 11 mars 1964 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement Ă  la navigation de nuit, un AlizĂ© n° 29 de la flottille 6F, percute une colline au lieu-dit Les Couffines, dans la commune de Collias Gard. Ses trois hommes d’équipage, l’Asp de rĂ©serve navigateur Bertrand, Marie PILLIARD l’ EV1 pilote François, Marie, Henri RENVOISÉ et le Mt radio de bord Jacques, Hippolyte, François SALAÜN, sont tuĂ©s sur le coup. 6 dĂ©cembre 1940 – ImmĂ©diatement aprĂšs son dĂ©collage du terrain de Rabat, un Martin 167-A3 n° 148 – de l’escadrille 1B est victime d’une rupture de canalisation d’huile qui aveugle pratiquement le pilote et l’observateur. MalgrĂ© tous les efforts du pilote pour effectuer un atterrissage de fortune, l’appareil s’écrase Ă  un kilomĂštre du terrain. L’EV1 pilote Georges, Yves PINGUET, chef de bord, qui se trouvait au poste avant est tuĂ© sur le coup. Deux autres membres de l’équipage, dont le pilote, sont gravement blessĂ©s mais survivront. 17 aoĂ»t 1917 – Le QM mĂ©canicien Ă©lĂšve pilote Victor, Laurent, Urbain PISANO est mortellement blessĂ© dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut de l’école de pilotage du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l. 12 avril 1919 – Le QM canonnier observateur Antoine, Elie IGONIN et l’EV1 de rĂ©serve pilote Marcel, Henri PISSIN, commandant du CAM de Casablanca, sont tuĂ©s sur le coup lorsque leur hydravion, un Donnet-Denhaut 200ch, s’abat dans le port de Casablanca Maroc. 24 juin 1940 – Au cours d’une passe de mitraillage sur des troupes ennemies qui viennent d’occuper le fort du Chay Ă  Royan Charente-InfĂ©rieure, un Morane-Saulnier 406 de l’escadrille AC5 est abattu par la Flak et s’écrase dans un des fossĂ©s du fort. Son pilote, le SM de rĂ©serve Henri, Charles PIVET, est tuĂ© sur le coup. 22 octobre 1957 – Au retour d’une mission d’entraĂźnement au vol de nuit et en finale pour Ă  atterrir Ă  Oran-La SĂ©nia, un Lockheed P2V-6 Neptune de la flottille BuAer 126539 – perd brutalement de l’altitude, percute le lac salĂ© de la Sebkra, dans la commune de Valmy, et se dĂ©sintĂšgre complĂštement. Les huit hommes composant l’équipage, le SM2 pilote Pierre, Serge, Auguste, Jacques COURTEILLE, le Mt Ă©lectronicien de bord Francis HOQUET, le Mt radio volant Roger, Joseph LE CLECH, le Mt mĂ©canicien volant Alain LE PARC, le LV pilote Jacques, Paul, Max PIVET, commandant d’aĂ©ronef, le Mt radariste volant Marcel, Maurice, Gustave RENARD, le Mt armurier de bord Henri, Joachim, Marie ROGER et le SM2 navigateur aĂ©rien Pierre VIGER, sont tuĂ©s sur le coup. 17 mai 1939 – Au moment oĂč il se pose sur le porte-avions BĂ©arn, en baie de Douarnenez, Ă  quatre milles dans le 072° du cap de la ChĂšvre FinistĂšre, un Levasseur PL 101 n° 74 – BA-11 de la SESBA heurte de l’aile un support d’antenne et, dĂ©sĂ©quilibrĂ©, tombe Ă  la mer. Prisonnier de la mĂąture de l’aile supĂ©rieure Ă©croulĂ©e, l’EV1 pilote Carl, Marie, Henri, Pierre PLAINE-LÉPINE, meurt noyĂ© avant que les secours n’aient pu le dĂ©gager. Les deux autres membres d’équipage sont indemnes. 4 juin 1930 – Alors qu’il vient de dĂ©coller du terrain du Kouif, dans le dĂ©partement de Constantine, un Morane-Saulnier 230 de la SS de Sidi Ahmed se met en perte de vitesse et s’écrase en flammes. Ses deux occupants, le SM mĂ©canicien pilote Gustave, Alfred PLAN et le SM arrimeur pilote Emile POLLARD, sont tuĂ©s sur le coup. 19 juin 1923 – SitĂŽt aprĂšs avoir dĂ©collĂ© de la rade, un hydravion Georges LĂ©vy 300ch, codĂ© du CAM Cherbourg s’abat en mer. Les deux membres de l’équipage, le Mot2 mĂ©canicien pilote Jean, Christian MONTANGUON et l’EV1 pilote Maurice, Jean, Henri PLANTIÉ, pĂ©rissent dans la chute de leur appareil. 28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 dĂ©colle de Madjaloun Liban. Elle est composĂ©e de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignĂ©e est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre Syrie, oĂč la garnison française rĂ©siste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptĂ©e par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inĂ©gal et, l’un aprĂšs l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs Ă©quipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maĂźtres vont pĂ©rir et il n’y aura que quatre survivants. La composition des Ă©quipages Ă©tait la suivante N° 41 – Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de 93 – QM2 radio volant Ferdinand, LĂ©on BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, AndrĂ© PLAYE, chef de bord et 204 – SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, AimĂ© LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier EugĂšne, Henri, Pierre, Marie 58 – QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant AndrĂ©, Yves, Marie 274 – QM1 mĂ©canicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tuĂ©s en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis LainĂ©, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessĂ©s, Ă  l’atterrissage forcĂ© de leur 21 – LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire GuĂ©ret, rĂ©ussissent Ă  sauter en parachute. 13 mars 1967 – Un P2V-7 Neptune BuAer 147565 de la flottille 24F avait dĂ©collĂ© de la BAN de Lann BihouĂ© pour une mission de nuit de soutien ASM. Un dernier contact radar et radio avec l’escorteur d’escadre Surcouf vers 21 h 45, le situe en mer d’Iroise, Ă  40 milles environ dans le 235° du phare d’Ar-Men FinistĂšre. L’appareil ne donne ensuite plus signe de vie. Les recherches intensives aĂ©riennes et maritimes menĂ©es les jours suivants permettent de retrouver un seul corps, celui de l’officier coordonnateur tactique. Les autres occupants de l’appareil sont portĂ©s disparus, prĂ©sumĂ©s morts en mer. L’équipage Ă©tait composĂ© du PM Ă©lectronicien de bord LĂ©opold, Alfred CLAULIN, du PM mĂ©canicien de bord François, Marie CONAN et Raymond, LĂ©on, RenĂ© COUTURIER, du SM2 mĂ©canicien volant Louis, Yvon DELANNOY, du Mt Ă©lectronicien de bord Bernard, François, Jean-Marie GUÉNÉGAN, de l’EV2 navigateur Jacques, Bruno, Yves GUILLEMETTE, du Mt Ă©lectronicien de bord Joseph, Raymond, Alban HELLIOT, du LV de rĂ©serve navigateur Jean-François, Marie LUCAS, coordonnateur tactique, du Mt navigateur Michel, Jean MAURIN du Mt Ă©lectronicien de bord Jean-Claude, Emile, Yves, Louis PLÉDEL, du Mt pilote Guy, Jean, Roger STIVALET, du LV pilote ThadĂ©e, Yves, Marie, François, LĂ©opold TYL, commandant d’aĂ©ronef et du Mt Ă©lectronicien de bord et Joseph, AndrĂ©, Jacques VANPEENE. 18 aoĂ»t 1917 – Le LV pilote Frantz, Victorin PLENNEAU est tuĂ© dans la chute en mer d’un hydravion Donnet-Denhaut du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l. PortĂ© disparu dans un premier temps, son corps n’est retrouvĂ© que le 25. 10 aoĂ»t 1917 – Au retour d’une mission de surveillance, un Voisin Peugeot n° 2192 de l’escadrille cĂŽtiĂšre V485 s’abat au lieu-dit L’Hermitage, dans la commune d’Eu Seine-InfĂ©rieure. Ses deux occupants, le MdL d’artillerie pilote François LAFOURCADE et le QM canonnier observateur Auguste, Roland PLURIEN, sont tuĂ©s sur le coup. 21 janvier 1982 – Un Douglas C-54 n° 49 148 de l’escadrille 9S basĂ©e sur l’aĂ©rodrome de La Tontouta, en Nouvelle CalĂ©donie, effectuait un vol d’entraĂźnement aux dĂ©collages et atterrissages de nuit. Pour une raison indĂ©terminĂ©e, il s’écrase sur les flancs du mont Kokoreta, au lieu-dit Bangou, dans la commune de PaĂŻta. Il n’y a aucun survivant parmi les sept occupants de l’appareil. L’équipage Ă©tait composĂ© du LV pilote Guy, Alain, Marie CELTON, commandant d’aĂ©ronef, du MP pilote Marcel, Daniel, François, Denis CRUSSON, du PM Ă©lectronicien de bord Jean, Daniel DECOUDU, du Mt mĂ©canicien volant Paul, LĂ©on GAVARD-PIVET, du PM mĂ©canicien de bord Bernard, Louis, Joseph, Marie LE FURAUT, du MP mĂ©canicien volant MonroĂ«, Jacques PODLESNIK et du PM navigateur Claude, François WULLAERT. 5 juin 1918 – L’EV1 de rĂ©serve pilote FĂ©lix, Marie, Raymond POEYARRÉ du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l, en stage de pilote de chasse Ă  l’école d’aĂ©ronautique militaire de Biscarrosse, est mortellement blessĂ© dans la chute sur la plage de son appareil en vrille. 18 juin 1930 – Un LiorĂ© et Olivier H193 de la Section de servitude d’HyĂšres, effectue un vol d’entraĂźnement le long de la cĂŽte est de la MĂ©diterranĂ©e. Sans s’en apercevoir, l’équipage dĂ©passe la frontiĂšre et se trouve devant Vintimille Italie lorsqu’une panne de moteur le contraint Ă  un amerrissage forcĂ©. Mais celui-ci, fait vent arriĂšre, se passe mal et l’appareil capote. Les deux occupants assis aux siĂšges avant, le SM radio, pilote RenĂ© GUILLET et le SM radio volant ClĂ©ment, Joseph, Alexandre POGAM, meurent noyĂ©s. Les deux autres membres de l’équipage sont recueillis par des pĂȘcheurs. 10 juillet 1918 – Le Mot3 sans spĂ©cialitĂ© Ă©lĂšve observateur de captif Joseph, Marie POHIN du CAM de Rochefort, est mortellement blessĂ© en tombant de la nacelle au cours d’une ascension de ballon captif. 20 juin 1940 – Le Mot2 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Roland, RenĂ© POINTEL, griĂšvement blessĂ© dans un accident d’aviation sur le terrain de La Baule-Escoublac, dĂ©cĂšde de ses blessures peu de temps aprĂšs son admission Ă  l’hĂŽpital de Saint-Nazaire. 19 juin 1917 – Le Mot1 mĂ©canicien Marcel POIRIER, dĂ©tachĂ© au Groupe d’entraĂźnement des Divisions de l’AĂ©ronautique militaire du Plessis-Belleville, est mortellement blessĂ© dans la chute Ă  Ermenonville Oise, du Caudron Ă  bord duquel il servait comme mitrailleur/ L’identitĂ© de son pilote, Ă©galement tuĂ© dans l’accident, n’a pu ĂȘtre Ă©tablie avec prĂ©cision. 18 aoĂ»t 1918 – Parti du CAM de Sousse Tunisie pour une escorte de convoi cĂŽtier, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch est victime d’une panne de moteur alors qu’il survole la cĂŽte prĂšs de Korba, Ă  une centaine de kilomĂštres au nord. Les deux membres de l’équipage, l’EV1 observateur Jean, Charles, AndrĂ© POISSON et le QM torpilleur pilote Gaston, ClĂ©ment FAVEAU, sont tuĂ©s dans la chute, suivi de l’incendie de leur appareil. 24 janvier 1938 – Au cours d’un vol de prise en mains pour des pilotes nouvellement affectĂ©s et alors qu’il survole l’étang de Berre, l’hĂ©lice d’un LatĂ©coĂšre 290 n° 7 de l’escadrille 4T1 se dĂ©tache et va sectionner les mĂąts soutenant la voilure. Une aile se replie, l’hydravion se met en vrille et percute l’eau. Les quatre hommes qui constituaient l’équipage, les SM pilotes Alexandre, François, Henri AUBERT, Emiland LOCTIN et Jean POITIER et le Mt mĂ©canicien d’aĂ©ronautique AndrĂ©, Pierre RAT, sont tuĂ©s sur le coup. 4 juin 1930 – Alors qu’il vient de dĂ©coller du terrain du Kouif, dans le dĂ©partement de Constantine, un Morane-Saulnier 230 de la SS de Sidi Ahmed se met en perte de vitesse et s’écrase en flammes. Ses deux occupants, le SM mĂ©canicien pilote Gustave, Alfred PLAN et le SM arrimeur pilote Emile POLLARD, sont tuĂ©s sur le coup. 13 mars 1928 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement, un Morane-Saulnier MS 130 de l’escadrille d’instruction du CAM de Rochefort s’abat au sol. Ses deux occupants, le Mt mĂ©canicien volant AndrĂ©, Jean-Marie BRÉBANT et le LV pilote Roger, Victor POMMIER , griĂšvement blessĂ©s, sont transportĂ©s Ă  l’hĂŽpital maritime de Rochefort oĂč ils dĂ©cĂšdent quelques heures plus tard. 20 juillet 1945 – En phase finale de dĂ©collage du plan d’eau de la BAN de Dakar – Bel-Air, un Short Sunderland III de la flottille 7FE s/n ML841 – M, rebondit plusieurs fois sur des lames avant de se briser en deux et de couler presque immĂ©diatement. Il y a dix victimes parmi les occupants de l’appareil les Mot2 EAR Ă©lĂšves observateurs, Henri, Camille BÉRAUD, Jean, Marie, Georges BONIS-CHARANCLE et Jacques, Alfred, Antoine BRUN, le SM2 radio volant Louis DARS, le Mt mitrailleur bombardier Raymond, Joseph, Marie HOUSSAY, le QM1 radio volant Joseph LE DEUN, l’EV1 de rĂ©serve observateur RenĂ©, Michel, Jean LEMARCHAND, le Mot2 EAR Ă©lĂšve observateur Jacques, Henri, Albert LICHTENBERGER, le Mot radio volant Alfred PONCET et le QM armurier d’aĂ©ronautique Louis, Gabriel ROBIN. 27 janvier 1961 – En dĂ©collant du terrain de Tambacounda SĂ©nĂ©gal, un JRF Goose de la flottille BuAer 34078 – est victime d’une perte de vitesse, passe sur le dos et s’écrase en flammes en bout de piste. Les six occupants de l’appareil pĂ©rissent dans l’accident et parmi eux le CC pilote HervĂ©, Marie, Joseph de FORNEL, chef de bord, le SM2 mĂ©canicien de bord Pierre, Paul, Gontran NANTILLET et le VA pilote Pierre, Jean, Arnaud PONCHARDIER, commandant la Marine en AOF. Le VA Ponchardier Ă©tait accompagnĂ© de son Ă©pouse et d’un couple d’amis. 14 dĂ©cembre 1959 – Au cours d’un vol de contrĂŽle aprĂšs rĂ©vision Ă  l’établissement de la DCAN de Cuers-Pierrefeu, un AU-1 Corsair BuAer 129413, s’écrase sur le territoire de la commune de Tourtour Var. Son pilote, le Mt Raymond PONS est tuĂ© sur le coup dans l’accident qui cause Ă©galement la mort d’une femme, atteinte au sol par des dĂ©bris de l’appareil. 15 septembre 1955. Une section hunter-killer » de deux TBM Avenger de la flottille dĂ©colle d’Aspretto pour un entraĂźnement ASM de nuit sur la cĂŽte Est de la Corse. En traversant l’üle en formation serrĂ©e pour rejoindre la cĂŽte orientale, les deux appareils percutent un sommet. L’accident s’est produit au lieu-dit Tranzicone, dans la commune d’Olivese. Lorsque les secours arrivent il n’y a plus rien Ă  faire, sept hommes viennent de perdre la du TBM 3W BuAer 85954 – Ă©tait composĂ© du Mt radio volant Jean, Rolland BARRAU, du SM2 navigateur Christian, AndrĂ© LETELLIER, de l’EV2 de rĂ©serve navigateur Jean, AndrĂ© PONTILLON et de l’OE3 pilote Roger, Charles VAZEILLE. Celui du TBM 3S BuAer 91448 – comprenait, le SM2 mĂ©canicien de bord Marcel, Paul CULTY, le Mt armurier de bord Yves GRILLOT et le SM2 pilote Jean LE BERRE. 12 avril 1935 – Un Farman 166 Goliath de l’EPV du CEAM d’Hourtin s’abat au lieu-dit Lassalle, dans la commune de Lesparre Gironde. Trois des membres de son Ă©quipage, le SM arrimeur pilote Joseph, Henri PONZEVERA, le QM mĂ©canicien volant Maurice, Albert, Louis, Pierre RENAC et le Mot arrimeur pilote Luc, Lucien REYDY, pĂ©rissent dans la chute de leur appareil. Un quatriĂšme occupant le SM mitrailleur-bombardier Roger, RenĂ© ALLOUARD, gravement blessĂ©, dĂ©cĂ©dera le 25 mai Ă  l’hĂŽpital maritime de Rochefort.. 12 juillet 1944 – Au retour d’une mission de surveillance en mer, dans l’impossibilitĂ© Ă  cause du brouillard rĂ©gnant sur la rĂ©gion d’Agadir et Ă  court de carburant, un Convair PBY-5 Catalina BuAer 48361 – F-35 de la flottille 6FE est contraint d’amerrir au large de Safi Maroc. La mer est grosse et l’appareil se brise en deux parties au contact de l’eau. La partie avant flotte encore mais la cabine de pilotage est dĂ©jĂ  sous la surface, ne laissant aucune chance de survie Ă  ses trois occupants, l’Asp de rĂ©serve observateur Yvon, Pierre, RenĂ© DUCREST, le LV pilote Roger, Louis JACQUEMIN, chef de bord et le Mt pilote Emile, Edmond POPLIMONT et. Les six autres membres de l’équipage se retrouvent Ă  l’eau mais, lorsque deux heures plus tard des embarcations de pĂȘcheurs arrivent sur les lieux de l’accident, ils ne sont plus que quatre, le Mt radio volant Camille, RenĂ©, LĂ©on YBERT et le QM mĂ©canicien volant Fernand, Joseph, Ferdinand LECORDIER ont coulĂ©s Ă  pic. 20 dĂ©cembre 1945 – Peu aprĂšs son dĂ©collage de la BAN de Saint-Mandrier, un Dornier 24 de la flottille 9Ftr n° 1 – qui se rendait Ă  Arzew en AlgĂ©rie, s’écrase Ă  un kilomĂštre dans le 175° de la pointe de Saint-Elme dans la commune de la Seyne-sur-Mer. Des six membres de l’équipage, le LV pilote Hubert, Marie, Robert BENEYTON, chef de bord, le Mt mĂ©canicien volant Jean-Louis CAMUS, le Mt pilote Pierre, Marie CAROFF, l’EV2 de rĂ©serve observateur RenĂ©, Joseph, Mathurin GUINARD, le PM pilote Yves, Marie HAMON et le Mt radio volant Albert, Emile PORTRAT et des onze passagers, le PM Claude MERCEUR, les Mots François BOURGLAN, Jules CADICHON, Charles DARZENS, Louis DESNOYER, Pierre DUPUY, Louis LE DOZE, Joseph LE DOZE, Maurice PEROT, Maurice PIERRE, Pierre TEMOIN et GĂ©rard TEXIER, cinq survivants sont vus agrippĂ©s Ă  un rĂ©servoir d’essence mais quand les secours arrivent, un seul, le Mot François Bourglan, est retrouvĂ© vivant. L’accident s’étant produit sans tĂ©moin et l’épave de l’appareil n’ayant pu ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©e, ses raisons ne seront jamais connues. 21 aoĂ»t 1917 – Le SM canonnier, Ă©lĂšve pilote Paul, Marie POSTEC, du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l, en stage Ă  l’école de pilotage de l’AĂ©ronautique militaire de VendĂŽme Loir-et-Cher, est mortellement blessĂ© dans la chute de son avion sur le terrain britannique de Poulines. 23 aoĂ»t 1938 – Au cours d’une sĂ©ance d’entraĂźnement aux amerrissages de nuit en rade de Cherbourg Manche, un LiorĂ© et Olivier 258 de l’escadrille 1B1 est accidentĂ©. Quatre des six membres de l’équipage, les SM pilotes Louis, Jean, SĂ©bastien LANIEL et Gaston, Maurice, RenĂ© LE BRUN, le QM radio volant Jean POSTOLLEC et le Mt mĂ©canicien volant HervĂ© POULIQUEN, sont tuĂ©s sur le coup. Deux autres, dont l’EV1 commandant d’aĂ©ronef, sont gravement blessĂ©s. 24 octobre 1963 – En tentant d’amerrir de nuit, par suite d’une panne de moteur, un TBM Avenger de l’escadrille BuAer 69442 – basĂ©e Ă  Cuers-Pierrefeu percute la mer Ă  quelques dizaines de mĂštres du rivage, au lieu-dit Saint-Pierre-la-Mer, dans la commune de Fleury Aude, Les quatre occupants, le SM2 pilote JoĂ«l, Henri, Louis DANTON, le Mt navigateur aĂ©rien Roger POTIER, le SM1 mĂ©canicien de bord AndrĂ©, François, Marie TRUTIN et un passager, le Cne de l’armĂ©e de Terre Armand de LIVRET, sont tuĂ©s dans la chute de leur appareil. 23 aoĂ»t 1918 – ImmĂ©diatement aprĂšs son dĂ©collage pour une mission de reconnaissance, un hydravion Donnet-Denhaut 150ch n° 681 – du CAM de PlatĂ©ali GrĂšce, s’abat en vrille dans la rade. Les deux occupants de l’appareil, l’EV2 observateur Louis, Maxime GUÉLARD et le QM mĂ©canicien pilote EugĂšne, Robert POTIRON, sont tuĂ©s sur le coup. 17 mai 1930 – Alors qu’il participe Ă  un meeting d’aviation sur l’aĂ©rodrome d’El Aouina Tunisie, l’EV2 de rĂ©serve pilote Michel, Alfred, Maurice POU, de l’escadrille 4C1 basĂ©e Ă  Sidi Ahmed, se tue au cours d’une dĂ©monstration de voltige. Son appareil, un Morane Saulnier 130 n° 133 de la SS de Sidi Ahmed, s’écrase au sol au terme d’une vrille amorcĂ©e trop bas. 12 dĂ©cembre 1962 – Deux SNCASO Vautour IIN de la 30Ăšme Escadre de chasse de nuit de l’ArmĂ©e de l’Air entrent en collision en vol et s’écrasent dans la commune de Saint-Michel-d’Euzet Gard. Les quatre membres d’équipage, le Lt pilote LAURENT et le LV de rĂ©serve navigateur AndrĂ©, Jean, Marie POUBLAN dans l’appareil n° 342 et le Lt pilote RENAUDIN et le Sgt THIBAULT dans le n° 316, trouvent la mort dans l’accident. 12 janvier 1939 – Au cours d’une Ă©volution serrĂ©e Ă  basse altitude, un CAMS 37E de la SE de Brest, se met en perte de vitesse et s’abat dans la commune de Plomodiern FinistĂšre. Ses trois occupants, le SM2 mĂ©canicien volant Pierre, Marie COLLET, le Mot arrimeur Louis LE BOT et le SM2 pilote Corentin, Jean, Marie POUDOULEC, sont tuĂ©s sur le coup. 27 juin 1951 – Arrivant de Saint-Mandrier, l’hydravion quadrimoteur Breguet 730 Sirius de l’escadrille n° 2 – se prĂ©sente en finale pour amerrir sur l’oued SĂ©bou Ă  Port-Lyautey. L’approche est trop basse et dĂ©saxĂ©e et le pilote remet les gaz. L’hydravion se cabre alors, puis part en abattĂ©e sur la gauche, une aile touche le sol et l’appareil s’écrase. Quatre membres de son Ă©quipage, le SM2 mĂ©canicien volant Joseph, Louis CARIOU, le QM2 radio volant Raymond, Hubert JEANDOT, le SM2 radio volant Roger POUGET et le PM mĂ©canicien volant Maurice SOUNY, sont tuĂ©s sur le coup. Deux autres, l’EV1 de rĂ©serve pilote Jean, AndrĂ© JAUSSOIN, chef de bord, et l’EV2 de rĂ©serve navigateur Pierre, Michel THIÉBAUT, griĂšvement blessĂ©s, dĂ©cĂšdent aprĂšs leur transport Ă  l’hĂŽpital. Une septiĂšme victime enfin est Ă  dĂ©plorer, le technicien civil de la SNECMA Roger SCHACK, Ă©galement tuĂ© sur le coup. Les vingt autres membres d’équipage et passagers, sont tous plus ou moins gravement blessĂ©s mais survivront. 27 juin 1946 – Au cours d’un exercice de combat tournoyant, un SBD-5 Dauntless de la Flottille BuAer 54590 – se met en perte de vitesse, s’engage dans une vrille qui ne peut ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©e et s’abat sur le territoire de la commune de Carqueiranne Var. GriĂšvement blessĂ©s, les deux membres de l’équipage, l’EV2 de rĂ©serve pilote Henri, Adrien, Edouard COLIN et le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Damien POUJADE, sont transportĂ©s Ă  l’hĂŽpital Sainte-Anne de Toulon oĂč ils dĂ©cĂšdent peu aprĂšs leur admission. 10 avril 1918 – En amerrissant par mer formĂ©e devant Etretat Seine-InfĂ©rieure, un hydravion FBA 150ch n° 567 – du CAM du Havre, est accidentĂ©. L’observateur est recueilli blessĂ© mais le SM canonnier pilote François, Marie POULIQUEN, est tuĂ© sur le coup. 23 aoĂ»t 1938 – Au cours d’une sĂ©ance d’entraĂźnement aux amerrissages de nuit en rade de Cherbourg Manche, un LiorĂ© et Olivier 258 de l’escadrille 1B1 est accidentĂ©. Quatre des six membres de l’équipage, les SM pilotes Louis, Jean, SĂ©bastien LANIEL et Gaston, Maurice, RenĂ© LE BRUN, le QM radio volant Jean POSTOLLEC et le Mt mĂ©canicien volant HervĂ© POULIQUEN, sont tuĂ©s sur le coup. Deux autres, dont l’EV1 commandant d’aĂ©ronef, sont gravement blessĂ©s. 26 novembre 1948 – Un Wellington XIV de la flottille s/n PF 996 – participe Ă  un exercice d’attaque de nuit d’un sous-marin au large du cap Falcon, prĂšs d’Oran. Pour probablement vouloir conserver son objectif dans le faisceau du projecteur ventral, le pilote effectue un virage Ă  trĂšs basse altitude. Au cours de cette manƓuvre l’aile touche l’eau et l’appareil, dĂ©sĂ©quilibrĂ©, s’écrase en me. Les recherches, immĂ©diatement entreprises par le sous-marin, permettent de retrouver quatre corps seulement. L’équipage se composait des EV1 de rĂ©serve pilote Jean, Albert BOULICAUT, EV1 navigateur RenĂ©, Charles BRESSON, SM2 mĂ©canicien volant Charles DEBS, EV1 pilote François, Yves, Louis, RenĂ© FAURE, chef de bord, Mt radariste volant Manuel, JĂ©rĂŽme FERRANDIS, SM radios volants AndrĂ©, Pierre, Marie LAURENT et Jean, Gabriel, EugĂšne LE MEUR et PM mitrailleur bombardier RenĂ©, François POULIQUEN. 29 juin 1918 – Un hydravion FBA 150ch n° 607 du PC du Cap Janet Bouches-du-RhĂŽne s’abat en vrille Ă  l’embouchure du vallon des Auffes. Ses deux occupants, le QM mĂ©canicien pilote Marcel, Albert GUY et le SM timonier pilote Alphonse, François POULMARCH, sont tuĂ©s sur le coup. 8 septembre 1939 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement de pilotes de rĂ©serve rĂ©cemment mobilisĂ©s, un hydravion LiorĂ© et Olivier H257bis de l’escadrille B2 s’abat sur l’étang de Berre. Trois des membres de l’équipage, le Mt pilote de rĂ©serve Joseph, RenĂ©, Maurice BEYAERT, le QM2 mĂ©canicien volant AndrĂ©, Odilon, Alphonse LEULLIETTE et le Mt mitrailleur bombardier Jean POUPON sont retirĂ©s morts des dĂ©bris de l’appareil. Deux autres en rĂ©chappent avec des blessures. 21 mars 1935 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement Ă  la navigation de nuit, un Farman 168 Goliath n° 191 – de la SE de Brest, est pris dans une bourrasque et, dĂ©sĂ©quilibrĂ© et hors de contrĂŽle, s’abat au fort des Capucines, dans la commune de Roscanvel FinistĂšre. L’équipage, composĂ© des PM mĂ©canicien pilote Gustave, Louis CHAILLOT, QM arrimeur, pilote AndrĂ© LE CERFF, QM radio volant Jean LE MARTRET, EV2 de rĂ©serve pilote Bernard, Adrien POUSSINEAU, chef de bord, QM mĂ©canicien volant Albert, Marie TOQUER et PM mĂ©canicien volant NoĂ«l, Charles, Marie TROMEUR, est tuĂ© sur le coup. 9 septembre 1970 – Au retour d’un vol de nuit et en approche GCA, un Etendard IVM n° 31 de l’escadrille 59S s’abat en mer Ă  environ 8 milles dans le sud d’HyĂšres. Son pilote, l’EV2 de rĂ©serve Christian, Joseph POUZOULET disparaĂźt dans la chute de l’appareil. 8 novembre 1942 – Cette journĂ©e restera comme l’un des plus noires de l’histoire de l’AĂ©ronautique navale. TĂŽt le matin, une importante force navale amĂ©ricaine se prĂ©sente devant les cĂŽtes du Maroc. Son objectif dĂ©barquer des troupes en plusieurs forces françaises prises totalement par surprise essaient nĂ©anmoins de rĂ©agir. A Port-Lyautey sont basĂ©es la 1Ăšre flottille de chasse escadrilles 1AC et 2AC et la 3Ăšme flottille de bombardement escadrilles 2B et 3B. AlertĂ©s par les tirs des bĂątiments amĂ©ricains, les Ă©quipes au sol s’empressent d’armer les Martin 167 A-3 de cette derniĂšre unitĂ©. Lorsque, vers 9 heures, les premiers bimoteurs prennent l’air, ils sont attaquĂ©s par des Grumman F4F Wildcat de la chasse embarquĂ©e du commandant de flottille, dĂ©collĂ© le premier, est rapidement abattu au nord de l’embouchure de l’oued SĂ©bou et son Ă©quipage, composĂ© du Mt radio volant Jean, Maurice BÉDU du LV pilote Jean, Pierre, AmĂ©dĂ©e, Bernard BILLIOQUE, faisant fonction d’observateur, du CC pilote Henri, Albert MATHON, chef de bord et du QM mĂ©canicien volant Pierre, Jean, Marie PRADINE, est portĂ© disparu. Seuls les corps du CC Mathon et du QM Pradine seront retrouvĂ©s quelques semaines plus tard. 23 aoĂ»t 1944 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ588 – N de l’escadrille 5B de la 2Ăšme flottille de bombardement avait dĂ©collĂ© de sa base de Dakar-Ouakam pour une mission d’escorte de convoi. A partir de 20 h 30, plus aucun contact ne peut ĂȘtre Ă©tabli avec l’appareil. Les recherches lancĂ©es le lendemain et les jours suivant ne rĂ©vĂšlent aucun indice. L’appareil et son Ă©quipage de sept hommes, composĂ© du QM1 mĂ©canicien volant AimĂ©, Marcel BASTIEN, de l’EV1 de rĂ©serve observateur RenĂ©, Jules, Vital CUNIN, commandant d’aĂ©ronef, de l’Asp de rĂ©serve observateur Pierre, Edouard, Claude MARTIN, du QM2 radio volant Robert, Georges, Augustin MOIZANT, de l’OE2 pilote Roger PRAT, du Mt radio volant Louis, Marcel RAPP et du SM pilote Guy, Louis, Marie RICHAUDEAU, sont portĂ©s disparus. 23 juillet 1925 – SitĂŽt aprĂšs avoir dĂ©collĂ©, un hydravion Georges LĂ©vy 300ch de l’escadrille 1R1 du CAM de Cherbourg s’abat dans la rade. Ses trois membres d’équipage, le QM mitrailleur bombardier Georges, Charles, Emile BOUVARD, le Mot arrimeur pilote Pierre, Henri MOUNEYDIER et le QM arrimeur volant Louis, Auguste PRÉVOST, pĂ©rissent dans l’accident. 24 mars 1917 – AprĂšs avoir dĂ©collĂ© pour un vol de reconnaissance du temps et atteint une altitude de 300 mĂštres, un FBA 150ch n° 413 – du CAM de Dunkerque, se met en vrille, s’abat en mer et capote. L’un des deux occupants, le Mot Le Tynevez, est immĂ©diatement secouru mais le second, le QM mĂ©canicien pilote Antoine PRÉVOT, prisonnier de la coque retournĂ©e, a cessĂ© de vivre lorsque les sauveteurs rĂ©ussissent Ă  le dĂ©gager. 11 avril 1917 – Au cours d’une reconnaissance en mer, Ă  la suite d’une panne de moteur, un FBA 150ch n° 376 du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l, est contraint d’amerrir Ă  25 milles au sud du Dramont Var. GrĂące aux pigeons voyageurs embarquĂ©s, les deux hommes d’équipage peuvent prĂ©venir le Centre mais, quand les secours arrivent sur place, ils ne trouvent aucune trace de l’appareil. Le Mt mĂ©canicien pilote EugĂšne, Jules, Alexis JULLIEN et l’EV1 auxiliaire observateur Charles, Michel PRIEUR, sont portĂ©s disparus, prĂ©sumĂ©s morts en mer. 17 mai 1940 – Au cours d’un entraĂźnement au bombardement en piquĂ©, un Loire-Nieuport 411 n° 2 – de l’escadrille AB4, ne redresse pas Ă  temps et s’abĂźme en mer devant le cap LĂ©vy Ă  Cherbourg. Son pilote, le SM Adrien, Louis, Marie PRIGENT, est tuĂ© sur le coup. 31 dĂ©cembre 1917 – Le SM canonnier, Ă©lĂšve pilote Henri, Louis PRIGENT, aux commandes d’un FBA 150ch n° 319 de l’école de pilotage du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l, est victime d’une chute en vrille en mer. Recueilli par une embarcation de sauvetage, il dĂ©cĂšde pendant son transfert Ă  l’infirmerie du centre. 12 septembre 1919 – Au cours d’un vol d’entraĂźnement, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch n° 1222 – du CAM de Toulon, disparaĂźt dans le golfe de Giens Var. Les recherches entreprises ne permettent pas de trouver d’indices. Les deux membres de l’équipage, le SM mĂ©canicien observateur Emile, Alexandre GUILLEMOTO et le SM fusilier pilote Paul, ThĂ©ophile, Jean PRIMA sont portĂ©s disparus, prĂ©sumĂ©s morts en mer. 7 septembre 1966 – À la suite d’une panne de moteur, un AlizĂ© n° 46 de la flottille 4F est contraint Ă  un amerrissage forcĂ© au large de Lorient Morbihan. Deux membres de l’équipage parviennent Ă  sortir de l’appareil et sont sauvĂ©s grĂące Ă  leur radeau individuel mais le troisiĂšme, le PM navigateur Yvon, Jean, François PRIOUX, ne peut pas se dĂ©gager et coule avec l’appareil. 12 mai 1916 – Parti de FrĂ©jus Ă  destination de Bizerte, le dirigeable CMT est victime d’un incendie et s’abat alors qu’il est en vue des cĂŽtes de Sardaigne. Les cinq hommes composant l’équipage pĂ©rissent dans l’accident. Cet Ă©quipage mixte Ă©tait composĂ© de l’Adjt pilote de dirigeable Camille, Albert BRICE, du Cne pilote de dirigeable RenĂ©, Jean, Henri CAUSSIN, du Mot2 Ă©lectricien radio de dirigeable Maurice, Louis, Nicolas PROUTEAU, de l’Adjt mĂ©canicien de dirigeable Abel, Adrien, Edmond RÉMIA et du LV Ă©lĂšve pilote de dirigeable Antoine, Louis, Marie BARTHÉLEMY de SAIZIEU. Brice, Caussin et RĂ©mia appartenaient Ă  l’AĂ©rostation militaire. 17 aoĂ»t 1960 – Un AVRO Lancaster de l’escadrille n° WU 26 – revenait de mĂ©tropole vers Agadir, transportant douze passagers en plus de son Ă©quipage habituel. Alors que l’appareil se trouve 25 kilomĂštres au sud de Had Ouled Frej, un message est reçu par le contrĂŽle de Camp CazĂšs, signalant un incendie au moteur n° 3 et annonçant une tentative d’atterrissage forcĂ©. Mais il est trop tard, rongĂ© par le feu, le longeron principal de la voilure cĂšde et l’aile droite se replie. DĂ©semparĂ©, le Lancaster s’écrase au sol prĂšs du douar de Khemis M’Touch, dans la rĂ©gion de Sidi Bennour, Ă  une centaine de kilomĂštres environ dans le SSO de Casablanca. Tous les occupants sont tuĂ©s sur le coup. L’équipage Ă©tait composĂ© du MP mĂ©canicien de bord Bernard BRÉLIVET, du SM2 radio volant Jacques, Pierre DURAND, de l’EV2 de rĂ©serve pilote Jean-Claude JÉGOU, des OE3 pilotes Henri, Francis JOURDAN et Joseph, Jean, Marie LE HIRESS, commandant d’aĂ©ronef, du Mt mĂ©canicien volant Edmond, Jean, Marie MARTIN et du PM radio volant Jean, Emile, Auguste MOUSSET. Les passagers Ă©taient le QM2 armurier d’aĂ©ronautique Claude, Paul BARBÉ, le PM pilote Maurice, Dominique, Pierre CANTAT, les SM2 mĂ©caniciens d’aĂ©ronautique Jacques, Roland, Marcel HERBETTE, Gilbert, Louis, Marie LE ROUZIC et Jean, Louis MARC, l’agent de la poste aux ArmĂ©es Armand, Marius PÉZÉ, le QM1 Ă©lectricien Christian, Charles PHIPPS, le SM2 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Joseph PROVOST, le PM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Lucien, Jean, Louis ROMANI, l’IM1 volant Jacques, Jean, Victor ROULS, le Sgt/Maj Louis, Victor PRINCE-SOULIER de l’armĂ©e de Terre et le Mot2 maĂźtre d’hĂŽtel Pierre VICARIOT. 10 avril 1933 – Au retour d’un vol d’entraĂźnement par nuit lunaire, un Farman 168 Goliath n° 120 – de la SE de Berre capote Ă  l’amerrissage, probablement Ă  cause d’un effet de mirage. Les cinq hommes composant l’équipage, les SM arrimeur pilote Paul, Henri, Roger CHAPON, le QM arrimeur pilote Jacques, Paul, Achille FRAISSÉ, le SM arrimeur pilote François, Yves, Joseph JACQ, le SM mĂ©canicien volant Yves, Guillaume, Marie LE BARS et le Mt mĂ©canicien pilote Charles, Jean, Gaston PRULEAU, pĂ©rissent dans l’accident. 16 novembre 1918 – L’apprenti marin Maurice, Alfred, Adolphe PRUVOST du CAM de FrĂ©jus – Saint-RaphaĂ«l, Ă©lĂšve pilote Ă  l’école de pilotage de l’AĂ©ronautique militaire d’AmbĂ©rieu, est mortellement blessĂ© dans la chute de son avion sur le terrain de Loyettes Ain. 19 dĂ©cembre 1943 – Un Vickers Wellington XIII s/n HZ710 – de l’escadrille 1B de la 2Ăšme flottille de bombardement avait dĂ©collĂ© du terrain de Dakar-Oukam pour un mission de protection de convoi. Les conditions mĂ©tĂ©orologiques sont trĂšs mauvaises et, incapable d’assurer correctement sa mission, le chef de bord annonce par radio qu’il l’interrompt et rentre Ă  sa base. Un autre message signale que les grenades ASM ont Ă©tĂ© larguĂ©es. Vers 14 heures, le Wellington est Ă  la verticale de Ouakam et entame un long virage pour se prĂ©senter dans l’axe de la piste. Des tĂ©moins s’aperçoivent alors qu’un des moteurs Ă©met une fumĂ©e noire. A 14 h 24, l’avion percute la mer et explose Ă  deux milles de la cĂŽte. Des embarcations de pĂȘcheurs puis des vedettes de la Royal Navy se portent immĂ©diatement sur les lieux de l’accident mais ne trouvent aucun survivant. L’équipage Ă©tait composĂ© des QM1 radio volant Auguste, Joseph AQUADRO, EV1 pilote Victor, Louis, Henri CERINI, chef de bord, SM2 pilote Alexandre, EugĂšne, CĂ©lestin CRESTEL, QM2 radio volant GaĂ©tan, Jean, Joseph DUCLOS, PM pilote Henri, Denis MICHEL, QM mĂ©canicien volant Raymond PATUREAU et Asp de rĂ©serve Henri, Antoine PUCHOL, observateur. Les corps de Cerini, Michel et Patureau ne seront pas retrouvĂ©s. 10 mars 1945 – Un Supermarine Walrus I s/n Z1815 – de l’escadrille 4S s’écrase au hameau de Cavalligna, dans la commune de Santa-Maria-di-Lota Corse. L’accident fait quatre victimes, l’équipage, composĂ© du Mt pilote Adrien, NoĂ«l DEVOIR et du Mot mitrailleur bombardier Jacques PUCHU et deux passagers, le SM mĂ©canicien François, Claude RUBINI et le QM2 canonnier Louis, Antoine LÉONARDI de l’UnitĂ© Marine d’Ajaccio. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait dĂ©collĂ© de Djibouti pour un vol d’entraĂźnement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du mĂȘme cĂŽtĂ©. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se dĂ©sintĂšgre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP Ă©lectronicien de bord Michel, Raymond, RenĂ© BLANDIN, PM Ă©lectronicien de bord AndrĂ©, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt Ă©lectronicien de bord Eric, HervĂ©, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de rĂ©serve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mĂ©canicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM Ă©lectronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mĂ©canicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mĂ©canicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, AloĂŻs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Didier FORMET, MP Ă©lectronicien d’aĂ©ronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM Ă©lectromĂ©canicien d’aĂ©ronautique Dominique passagers S/C Umberto CIRASARO de la 13Ăšme DBLE, PM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Gilbert, Michel CROUILLES, de l’UnitĂ© Marine de DjiboutiEV2 RenĂ©, François, AndrĂ© FOIN de l’aviso-escorteur Amiral Charner, Maj mĂ©canicien de bord Bernard, Gabriel JOLLARD et MP pilote Jean, Pierre, ClĂ©ment MAROT de l’escadrille 23S dĂ©tachĂ©s sur le BCR Var. 23 juillet 1940 – Alors qu’il dĂ©colle du lac de Bizerte pour rejoindre Aspretto en Corse, un LatĂ©coĂšre 298 n° 42 de l’escadrille 3S6 se met en perte de vitesse et s’abat dans l’eau. Deux de ses membres d’équipage, le QM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Yves, Marie LAVANANT et le QM de rĂ©serve radio volant RenĂ©, LĂ©onard PUGLIESE sont tuĂ©s sur le coup. Le troisiĂšme, le SM2 pilote Louis, Albert KAUFFMANN, est transportĂ© griĂšvement blessĂ© Ă  l’hĂŽpital de Sidi Abdallah oĂč il dĂ©cĂšde quelques heures plus tard. 12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viĂȘt minh autour du point d’appui Anne Marie» dans la cuvette de DiĂȘn BiĂȘn Phu, un PB4Y Privateer de la flottille BuAer 59774 – est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, AimĂ© BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, AndrĂ© GAUTHIEZ, le SM2 mĂ©canicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mĂ©canicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur HervĂ©, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portĂ©s disparus, prĂ©sumĂ©s tuĂ©s dans la chute de leur appareil. 18 mai 1986 – Un Atlantic n° 19, de la flottille 21F, avait dĂ©collĂ© de Djibouti pour un vol d’entraĂźnement. Aux alentours de la montagne du Day, le moteur gauche est victime d’une avarie brutale provoquant un virage du mĂȘme cĂŽtĂ©. Le relief est trop proche, l’appareil percute les contreforts de la montagne et se dĂ©sintĂšgre en tuant tous ses occupants. L’accident fait dix-neuf victimes Membres de l’équipage MP Ă©lectronicien de bord Michel, Raymond, RenĂ© BLANDIN, PM Ă©lectronicien de bord AndrĂ©, Alain, Patrick CHAUMONT, SM navigateur Laurent, Michel FAUBET, Mt navigateur Daniel, Victor d’HULSTER, Mt Ă©lectronicien de bord Eric, HervĂ©, Victor, Auguste MAUGARS, EV1 de rĂ©serve pilote Dominique, Jean MEUNIER, chef de bord, Mt mĂ©canicien de bord Eric, Jean, Louis MONTET, SM Ă©lectronicien de bord Pierre, Michel PUGI, QM1 mĂ©canicien de bord Patrick, Henri SIMOND. PM mĂ©canicien de bord Jacques, Marie, Franck TASSIN, PM pilote Christian, Louis, AloĂŻs de personnel technique au sol de la 21F QM1 mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Didier FORMET, MP Ă©lectronicien d’aĂ©ronautique Michel, Charles, Paul PACATTE et PM Ă©lectromĂ©canicien d’aĂ©ronautique Dominique passagers S/C Umberto CIRASARO de la 13Ăšme DBLE, PM mĂ©canicien d’aĂ©ronautique Gilbert, Michel CROUILLES, de l’UnitĂ© Marine de DjiboutiEV2 RenĂ©, François, AndrĂ© FOIN de l’aviso-escorteur Amiral Charner, Maj mĂ©canicien de bord Bernard, Gabriel JOLLARD et MP pilote Jean, Pierre, ClĂ©ment MAROT de l’escadrille 23S dĂ©tachĂ©s sur le BCR Var.
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Laconstruction de la basilique Notre-Dame de Dole a commencĂ© en 1509. L'Ă©difice, qui a Ă©tĂ© une collĂ©giale jusqu'en 1951, a pris la succession d'une autre Ă©glise, toute proche, bĂątie au dĂ©but du XIIIe siĂšcle et dĂ©jĂ  consacrĂ©e Ă  Notre-Dame. À la fin du XVe siĂšcle, cette premiĂšre collĂ©giale est trop petite pour une population en ï»żLe Prince Aubert a disparu ! Malheureusement, la Princesse Pervenche n’avance pas dans son enquĂȘte car Madame Moche brouille les pistes. Seuls les enfants, dĂ©tenteurs d’indices, pourront sauver le pauvre Prince et son Royaume. Le Royaume est en danger car le Roi est trĂšs malade il est empoisonnĂ©, mai sets-ce une maladie ? et le prince Aubert reste introuvable. Quelques indices indiquent qu’il s’est noyĂ©. Au chĂąteau, il ne reste plus que la Princesse Pervenche qui puisse Ă©viter le pire. Mais en sera-t-elle capable ? Les apparences prouvent le contraire et les embĂ»ches s’amoncellent
 Aventure, suspense et rire sont les ingrĂ©dients de cette drĂŽle de comĂ©die policiĂšre. Car au fil des coups de théùtre, de nouveaux Ă©lĂ©ments sont donnĂ©s et l’enquĂȘte avance. Dans ce spectacle pour les 4-10 ans, les rĂ©actions et les prises de positions des enfants sont Ă  mourir de rire. Seront-ils du bon cĂŽtĂ© ou dĂ©fendent-ils Madame Moche ? Acheter le Livre en ligne Le livre est Ă©galement en vente Ă  la sortie du spectacle.
Vielocale d'un village au coeur de l'Entre-Sambre-et-Meuse. Suite Ă  la publication du dossier consacrĂ© Ă  l’ancienne commune d’Acoz, Luc ELOY me signale qu’il a souvenance que le groupe musical « WALLACE COLLECTION » est passĂ© au chĂąteau PIRMEZ, vers 1970, pour une sĂ©ance photos.. Rappelons briĂšvement que « WALLACE COLLECTION » est un groupe de
Théùtre — idĂ©al dĂšs 4 ans ON AIME une enquĂȘte policiĂšre hilarante oĂč les enfants participentÂge idĂ©al dĂšs 4 ansDates jusqu’au 27 aoĂ»t 2022Lieu Théùtre Le Bout Paris 9e AU SECOURS, LE PRINCE AUBERT A DISPARU l’enquĂȘte policiĂšre hilarante pour les tout-petits 10Ăšme annĂ©e de succĂšs non-stop pour cette piĂšce trĂšs trĂšs policiĂšre Ă  laquelle les enfants participent totalement loufoque, les dialogues sont hilarants, les acteurs sont excellent et les enfants s’amusent comme des fous. Les parents aussi !Un spectacle de 1h Infos pratiques Adresse 6, rue Frochot - 75009 PARIS AccĂšs MĂ©tro lignes 2 et 12 station Pigalle Bus 30, 67, 72 et 74
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