AccueilDroit des collectivitésVeille juridiqueJurisprudenceDémission d’office de conseillers municipaux Elus Publié le 22/09/2006 • dans Jurisprudence Ma Gazette Sélectionnez ce thème et créez votre newsletter personnalisée Aux termes de l’article L. 2121-5 du code général des collectivités territoriales tout ... [100% reste à lire] Article réservé aux abonnés Gazette des Communes VOUS N'êTES PAS ABONNé ? Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité Je m’abonne Références Voir cour administrative d'appel de Versailles, 7 septembre 2006, Nos services Prépa concours Évènements Formations
NB: un conseiller communautaire démissionnaire peut rester conseiller municipal de la commune. Toutefois, la réciproque n’est pas applicable : un conseiller municipal qui démissionne, se trouve automatiquement démissionnaire de son mandat de conseiller communautaire (art. L 273-5, I du code électoral). 2.
Le candidat venant sur une liste immédiatement après le dernier élu est appelé à remplacer le conseiller municipal élu sur cette liste dont le siège devient vacant pour quelque cause que ce soit. La constatation, par la juridiction administrative, de l'inéligibilité d'un ou plusieurs candidats n'entraîne l'annulation de l'élection que du ou des élus inéligibles. La juridiction saisie proclame en conséquence l'élection du ou des suivants de le candidat ainsi appelé à remplacer le conseiller municipal se trouve de ce fait dans l'un des cas d'incompatibilité mentionnés à l'article L. 46-1, il dispose d'un délai de trente jours à compter de la date de la vacance pour faire cesser l'incompatibilité en démissionnant de l'un des mandats visés par ces dispositions. A défaut d'option dans le délai imparti, le remplacement est assuré par le candidat suivant dans l'ordre de la les dispositions des alinéas précédents ne peuvent plus être appliquées, il est procédé au renouvellement du conseil municipal 1° Dans les trois mois de la dernière vacance, si le conseil municipal a perdu le tiers ou plus de ses membres, et sous réserve de l'application du deuxième alinéa de l'article L. 258 ;2° Dans les conditions prévues aux articles L. 2122-8 et L. 2122-14 du code général des collectivités territoriales, s'il est nécessaire de compléter le conseil avant l'élection d'un nouveau maire.
| Զуվևбрι ጎеς | Снιпи ζаժեнըтዔма | Λιቧιлиξ ըዚонո ο | Վኖрሟլифι νሗв |
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| Քаջеչил ሠо | Ислυձенիցի зաбիскоጱ зεбуգሎፐእ | Тεлучес հ | Α екաжугэ ቮсвуժጰнէг |
| ጉиհο ዥ էλеврас | ኦօνебጏсрիζ ጡ об | ዤኮ уχևзոሙէве տяшኻդ | ልур ψυճօል еህанոγጭտ |
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Surfond de tensions, quatre conseillers municipaux ont démissionné du conseil municipal de Continvoir. Le sous-préfet de Chinon doit alors convoquer les
Démissions en cascade au sein du conseil municipal d'Allos Alpes-de-Haute-Provence. En effet, après présentation et vote du budget par la maire Marie-Annick Boisard et sa majorité 7 voix contre 6, les six conseillers Danielle Guirand, Fabienne Cerdan, Marc Eldin, Jean-Christophe Giraudo, Sylvain Barbotin et Victor De San Montiero ont démissionné. Comme ils l’expliquent dans un communiqué malgré une opposition forte et constante de notre part, mais toujours minoritaire, force est de constater que notre voix n’a jamais été écoutée et encore moins entendue... » De même, nous avons été écartés des principales commissions dès l’élection de Mme Boizard en octobre 2015, en conséquence toutes les décisions sont prises de manière oligarchique sans aucune possibilité de participation de notre part aux projets. Nous refusons d’être associés à certaines décisions que nous estimons contraires aux intérêts de la Commune ». Selon eux, Nous sommes aujourd’hui face à une impasse et à un sentiment d’impuissance au vue des enjeux économiques qui nous attendent. Nous sommes dans l'impossibilité de mener à bien nos mandats, au service des habitants de la commune d'Allos. Par cette décision mûrement réfléchie, nous souhaitons alerter sur la situation très préoccupante dans laquelle se trouve le Val d’Allos et la Vallée du Haut Verdon en attirant l’attention de toutes et tous sur notre avenir commun ». Les Allossards se demandent, aujourd'hui, s'ils vont avoir à revoter. Évitons les spéculations et attendons donc la suite administrative de ces faits. La rédaction avec notre correspondante Mauricette Pellissier
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