Jeprécise que je devais me présenter à 9h et comme nous étions plusieurs chauffeurs de sous traitant différents il m arrivait d attendre mon tour pendant plus d’une heure pour m entendre dire que ma tournée était annulée que je devais rentrer chez moi mais que je devais rester à disposition au cas où
Démission quelques rappelsLe salarié qui souhaite mettre fin à son contrat de travail à durée indéterminée, de sa propre initiative, peut librement donner sa démission à son employeur C . trav., art. L. 1231-1. La démission est un droit le salarié qui entend démissionner doit simplement informer son employeur de sa décision, à tout moment et par tout moyen, et respecter la durée de préavis légale ou conventionnelle applicable au sein de l’entreprise avant de quitter son poste. La démission est à distinguer du licenciement rupture du contrat opérée à l’initiative de l’employeur ; de la rupture conventionnelle rupture du contrat mise en œuvre conjointement par le salarié et l’employeur ; de la prise d’acte rupture du contrat par le salarié aux torts de l’employeur. Bon à savoir on ne parle pas de démission » dans le cadre d’un contrat à durée déterminée, mais de rupture anticipée ». Un salarié ne peut pas librement mettre fin à un CDD sans l’accord de son employeur, sauf lorsqu’il peut justifier d’une embauche en CDI au sein d’une autre entreprise C. trav., art. L. 1243-1. Important un salarié ne peut pas démissionner de façon abusive, c’est-à-dire avec l’intention de nuire à son employeur. Les obligations de l'employeur en cas de démission du salarié vérifier sa volontéMême s’il ne s’agit pas d’une obligation légale, il est préférable pour un employeur de s’assurer de la pleine volonté du salarié de démissionner. Pour que la démission soit valable le salarié doit avoir librement consenti à la démission ; il doit avoir exprimé clairement et sans équivoque sa volonté de démissionner. Bon à savoir une démission non valable peut être requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse en cas litige devant le conseil des prud’hommes. >> Vérifiez que le salarié a consenti à la démission La volonté de démissionner du salarié doit être libre et éclairée. A contrario, n’est pas considérée comme telle la démission donnée suite à des faits de harcèlement ou par un salarié ayant subi une quelconque pression ou contrainte de la part de son employeur, d’un collègue ou de l’un de ses supérieurs. Vérifiez que le salarié ne rencontrait pas de problème particulier au sein de l’entreprise qui aurait pu avoir pour conséquence de le pousser à démissionner contre sa véritable volonté. >> Vérifiez que le salarié a clairement fait part de sa volonté Le salarié doit clairement faire part de sa volonté de démissionner à son employeur, c’est-à-dire qu’il ne doit y avoir aucun doute possible sur cette action. Que se passe-t-il dans le contraire ? Lorsque le salarié n’a pas fait clairement part de sa volonté de démissionner par exemple le salarié a menacé de donner sa démission, ou lorsque sa décision de quitter l’entreprise n’était pas sans équivoque par exemple le salarié a donné vivement sa démission suite à une altercation, l’employeur ne peut pas considérer la démission comme valable. Le salarié peut revenir sur sa démission. Un salarié peut déclarer qu’il va démissionner et décider après réflexion, mais dans un bref délai de ne pas rompre son contrat. En ce cas, sa rétractation s’impose à l’employeur qui est tenu de le maintenir en poste, ou de le réintégrer s’il avait quitté l’entreprise. Notre conseil Cadremploi si un salarié a déclaré qu’il voulait démissionner, attendez ou demandez sa confirmation avant de prendre en compte cette décision. Sachez par ailleurs qu’un abandon de poste ou une absence injustifiée ne suffisent pas à manifester la volonté de démissionner d’un salarié. Si vous êtes confronté à cette situation, contactez le salarié et demandez-lui de reprendre le travail. Si vous n’obtenez pas son retour, engagez une procédure disciplinaire de licenciement. Les obligations de l’employeur en cas de démission du salarié faire courir le préavis de départLe salarié qui démissionne doit effectuer son préavis avant de quitter l’entreprise article L. 1237-1 du Code du travail. Le préavis commence à courir au premier jour de la notification de sa volonté de démissionner par le salarié. Si votre salarié vous a averti oralement de sa volonté de démissionner, demandez-lui de vous remettre un document écrit soit une lettre recommandée avec accusé de réception ; soit une lettre remise en mains propres accompagnée d’une attestation de remise de la lettre datée et signée par les deux parties. Ouvrez le début de la période de prévis dès que vous avez reçu le courrier. Bon à savoir vous pouvez dispenser le salarié d’effectuer son préavis, en échange du versement d’une indemnité compensatrice. À noter que le préavis n’est pas obligatoire lorsque le salarié démissionne en cas de grossesse, pour élever un enfant ou à la fin d’un congé pris pour création d’entreprise. Notre conseil Cadremploi regardez si votre entreprise n’est pas soumise à certaines dispositions conventionnelles plus strictes que les dispositions légales en matière de démission procédure, préavis…. Les obligations de l’employeur en cas de démission du salarié remettre des documentsL’employeur doit remettre trois documents légaux à son salarié un certificat de travail daté et signé C. trav., D. 1234-6 mentionnant la date d’entrée du salarié dans l’entreprise et celle de sa sortie, le ou les emplois occupés et les périodes de travail effectuées ; un reçu du solde de tout compte C. trav., L. 1234-20 reprenant l’ensemble des sommes à verser au salarié suite à la rupture du contrat congés payés, indemnité compensatrice de préavis ou autre contrepartie financière ; une attestation employeur C. trav., R. 1234-9 qui permettra au salarié de faire valoir ses droits auprès de Pôle emploi. La remise de ces documents par l’employeur est obligatoire. Bon à savoir le salarié dispose d’un délai de 6 mois pour contester le reçu du solde de tout compte. À noter le contrat de travail du salarié pouvait prévoir une clause de non-concurrence. L’employeur peut choisir de le libérer de cette clause, ou d’en conserver le bénéfice et de verser au salarié la contrepartie financière prévue au contrat. Notre conseil Cadremploi n’oubliez pas de régler au salarié le dernier salaire dû et de faire le point sur les indemnités à lui verser à l’issue de la rupture.
Monfils -12ans, positif ce matin. Donc je suis cas contact. Mon employeur me dit de rentrer chez moi, je suis négatif, mais je dois rester 7 jours à l'isolement Mon employeur me demande une attestation mais je ne trouve pas comment me déclarer cas contact sur @Assur_Maladie ?
Oui, mais pas sans autorisation. Votre domiciliation ne vous protège pas contre une expulsion. Pour vous expulser, votre compagnon doit avoir un titre exécutoire jugement du juge de paix. La domiciliation et l’occupation d’un logement sont 2 choses différentes. Le fait d’être domicilié à un endroit ne vous donne pas le droit de l’occuper. La domiciliation est une notion administrative. Elle a pour but de localiser chaque citoyen. Elle ne représente pas un titre juridique qu'il faut respecter. Par exemple, un partenaire qui se domicilie chez l’autre n’est pas titulaire du contrat de bail s’il ne l’a pas signé. Il est considéré comme un occupant sans titre ni droit et peut être expulsé avec l’autorisation du juge, même s'il y est domicilié. Et ce, même si le concubin a des enfants communs avec le propriétaire/locataire du bien. Dans ce cas de figure, il est important de se rendre chez le juge pour organiser l’hébergement des enfants. Si vous êtes également locataire ou propriétaire du logement, le juge n’autorisera pas nécessairement votre expulsion. Il pourra éventuellement décider que c'est vous qui pourrez occuper le logement. Notez que si vous êtes cohabitant légal ou marié, vous êtes mieux protégé. Voyez les questions associées. Pour expulser quelqu'un, il faut toujours obtenir l’autorisation d’un juge ou un autre titre exécutoire. Pour plus d’informations, voyez la rubrique l’expulsion’.
Onrappellera que la visite médicale de reprise est parfois obligatoire dans les cas suivants ( art. R.4624-31 C. travail) : 1. Un arrêt de travail (maladie ou d’accident) non professionnel d’une durée d’au moins 30 jours ; 2. Un arrêt suite à un accident du travail d’une durée d’au moins 30 jours ; 3. Un arrêt de travail suite
Bonjour à tous, J'ai signé un contrat de deux mois dans une société. Aujourd'hui mon patron m'as patron ma demander de " me casser et de ne plus revenir " devant pas mal de personnes ! Je vous épargne les insultes... Je suis censée être la bas à 6 heures demain mais je ne sais pas quoi faire. Si j'y vais demain ce seras pour rien il vas me demander de rentrer chez moi !je n'ai pas de témoin et la bas personne ne voudras être le mien. Je voudrais savoir quoi faire j'ai essayé de contacter l'inspection du travail mais sans succès ! Merci Dernière modification 17/11/2011 Bonjour, Il faudrait exiger un écrit ou au moins, si vous ne l'obtenez pas, envoyer une lettre recommandée avec AR à l'employeur lui indiquant que vous vous tenez à sa disposition à votre domicile tout en étant payé puisqu'il refuse que vous puissiez accéder à votre poste de travail et que bien sûr vous ne pouvez pas vous affronter à lui sans altérer votre santé physique et mentale... __________________________Cordialement. Bonjour et merci pour votre réponse. Qu'entendez-vous part "et que bien sûr vous ne pouvez pas vous affronter à lui sans altérer votre santé physique et mentale... " Merci Tout simplement que vous n'avez pas l'intention de vous battre ou de répondre à ses insultes et qu'en fait vous subissez du harcèlement moral... __________________________Cordialement. J'ai du nouveau, j'ai appeler l'associer de mon patron et ils ont décider de prononcer une mise à pied à mon encontre pour faute grave... Avec sois disant des écrits... Cette personne envisage en plus de porter plainte si elle en as les moyens. De plus elle aurait fait ça en accord avec l'inspection du travail ! J'ai lue sur internet que certains patrons utilisait ce procéder pour éviter de payer des indemnités ! Il y as 15 jours ils m'avait déjà demander de signer une démission, mais ne voulaient même pas entendre parler d'un accord amiable... Il serait étonnant que l'Inspection du travail ait donné son accord tout au plus une information... Vous avez préféré appeler l'employeur, je ne suis pas sûr que c'était le mieux, mais c'était pratiquement la seule solution, reste à savoir si le motif invoqué sera valable... De toute façon, vous devez être convoqué à un entretien préalable au cours duquel je vous conseillerais de vous faire assister par un représentant du Personnel s'il y en a dans l'entreprise... Vous avez bien fait de refuser de signer une démission puisque cela n'existe pas pour un CDD... __________________________Cordialement. En fait je suis livreur et hier devant le dépôt je suis rentré dans un camion en marche arrière, juste sous les yeux e mon supérieur. A ce moment-là on était que deux, mais selon l'associer de mon supérieur il aurait 2 écrits selon lesquels j'aurais foncé délibérément dans le camion ! D'après ce que j'ai comprie je suis mis à pied en attendant la lettre et une nouvelle mise à pied à la reception de celle-ci ! Bonjour, Il n'y a pas lieu à deux mise à pieds, vous êtes normalement en mise à pied conservatoire depuis qu'elle vous a été signifiée même oralement par l'employeur et elle devrait vous être confirmée par écrit avec la convocation à l'entretien préalable à sanction et elle durerait tout le temps de la procédure... __________________________Cordialement. Bonjour, Je vous remercie d'avance pour votre aide précieuse. Mon patron nous a mis à la porte moi et mon collègue en nous traitons comme des moins que rien sans aucune explication. Mon collègue n'a pas supporté, il a presque fait un malaise, en contrôlant sa tension à 18 chez son médecin. C’était vraiment violant. N’ayant pas eu de nouvelle de sa part, comme je dois régir. Sachant que ce n'est pas la première fois, il m'a déjà mis à la porte deux fois et il revient s'excuser mais maintenant je suis fatigué je n’ai marre de me faire traiter de la sorte. Dites moi ce que je dois faire. Cordialement Bonjour, Ce qui est important c'est ce qui a pu vous être dit par l'employeur et si en fait c'est un licenciement verbal donc sans respect de la procédure et qui devrait être considéré sans cause réelle et sérieuse... Ce qu'il faudrait faire c'est envoyer dès que possible une lettre recommandée à l'employeur relatant les faits en invoquant éventuellement un licenciement verbal... __________________________Cordialement. Avez-vous déjà un compte sur le site ? Si oui, veuillez compléter les champs email et mot de passe sur le formulaire en haut de page pour vous connecter. 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Lepréavis est donc d'un mois puisque plus de 6 mois d'ancienneté. Par contre là où je me pose des questions c'est que mon employeur préfère que j'effectue ce préavis chez moi. J'ai peur qu'arrivé à la fin de ce préavis le 01 janvier prochain mon employeur soit de mauvaise fois et refuse de me le payer car je n'aurais pas été présente.

Quatre jours en moyenne séparent les tests de dépistage de la Covid-19 de leurs résultats. En attendant, il est demandé de rester chez soi. Mais la CPS ne vous couvre pas. Par Damien Grivois Publié le 18 Août 20 à 1057 Les employés se faisant tester n’ont pas l’obligation de le signaler à leur employeur. ©Nicolas AubouinL’ absence d’indemnisation n’incite pas les travailleurs à cesser le travail en attendant le résultat d’un test Covid. Au risque de continuer à travailler tout en étant une source potentielle de contamination. J’ai été au contact, lors d’un anniversaire, d’une personne qui elle-même avait côtoyé l’un des convives de la soirée au Piment rouge. Donc ce matin, je me fais tester à mon tour… »Le cas de Jérémy, kiné à son compte, n’est pas isolé. Dès qu’il s’est su potentiellement contaminé, il a stoppé son activité. J’aurais pu avoir une continuité dans les soins mais je n’ai pas trouvé de remplaçants, certains étant dans la même situation que moi. » Ses patients ont bien compris » sa décision. Si son résultat est positif, il devra rester confiné encore une dizaine de jours. À nouveau une perte financière. À ma connaissance, je n’ai pas obligation de ne plus voir mes patients. Mais il s’agit souvent de personnes fragiles, il est préférable d’éviter tout contact par principe de précaution », explique Jérémy. C’est une question de sens des responsabilités, mais ça mériterait quand même d’être clarifié… »Ce vide juridique autour des personnes potentiellement contaminantes, mais pas considérées pour autant comme malades, inquiète également Timeri, professeure de lycée. Le bureau de veille sanitaire m’a demandé de venir me faire tester, mais aussi de rester chez moi jusqu’au 19 août » explique-t-elle. J’ai envoyé mon attestation d’isolement à mon proviseur, donc pas un arrêt maladie. Je ne sais pas du tout si je serai payée ou pas. J’espère bien sûr recevoir mon traitement habituel. »Vidéos en ce moment sur Actu Étant libéral en chirurgie dentaire, je ne vais pas travailler pendant quatre jours, et c’est une perte sèche pour moi, je n’ai pas pu trouver de remplaçant au pied levé », relate, de son côté, Abel. Sens des responsabilités » La majorité essaie d’avoir des indemnisations. Il y a beaucoup plus de mutuelles dans l’Hexagone au niveau des dentistes, donc chacun essaie de batailler au niveau de son assurance privée. »Abel considère toutefois que cette situation est un frein aux comportements vertueux. Certains vont penser “pas vu, pas pris” et iront travailler quand même, au risque de contaminer des collègues », regrette le taote niho. Si la CPS garantissait un minimum à tous ceux qui cessent leur activité, à la limite tout le monde jouerait le jeu. »Charles, responsable des ressources humaines dans une société privée, explique que la réglementation métropolitaine ne s’applique pas en Polynésie, aucun texte local ne prévoyant ce cas de figure. Cela relève du secret médical, l’employé n’est pas tenu d’informer son employeur d’un test Covid », souligne-t-il. À mon sens, l’employé qui soupçonne d’être infecté se doit de rester chez lui. Il a toujours la possibilité d’avoir un arrêt de travail. Tout dépend du médecin qui comprend ou pas la situation, quitte à décider, en cas de test négatif, d’une reprise anticipée. Pour moi, ce ne serait pas un arrêt maladie de complaisance. C’est une manière de faire du préventif dans le contexte Covid. » Tous les professionnels joints par téléphone ont préféré s’exprimer de manière anonyme. Les prénoms employés sont fictifs. Frédéric Dock, président du Medef Polynésie Oui au dispositif d’activité partielle » Frédéric Dock ©DR/LDT Pour les petites structures de moins de dix employés, l’État a mis en place le Fonds de soutien aux entreprises, toujours valable, pour lequel il a dépensé ici presque 3,5 milliards de francs. Cela consistait précisément à apporter une aide quand les professionnels ne pouvaient pas réaliser leur chiffre d’affaires en raison d’un empêchement administratif. Se pose le problème des structures plus importantes. Le salarié est-il incité à déclarer lui-même sa situation ? L’employeur n’est pas censé savoir s’il a un test Covid en cours… La simple contamination n’est pas reconnue comme une maladie en Polynésie. Tant que l’employé n’est pas malade, l’employeur ne peut qu’imposer de manière stricte la mise en œuvre des mesures barrières. Dans l’attente d’un résultat de test, il ne peut que l’autoriser à prendre des congés, ou des congés sans solde s’il n’a plus de crédit. Il n’a pas de solution financière. La CPS est là pour le risque maladie. Or ce scénario relève de la prévention. Le Medef défend depuis le début le dispositif de l’activité partielle que l’État finance à 2/3 en métropole et dans les départements d’outre-mer. Ce dispositif national a permis aux salariés métropolitains en réduction ou en arrêt total d’activité de maintenir une rémunération de 84 % du salaire net plafonné à 4,5 x le SMIC. Contraint par les restrictions budgétaires du Pays, c’est bien plus que ce que permet la CSE ou le DIESE, qui ne permettent pas d’aller jusqu’à zéro activité, et qui n’assurent pas de rémunération minimum à cette hauteur. Il est indispensable que le Pays se prononce de toute urgence sur sa stratégie sanitaire car la fermeture progressive de chaque établissement reviendra à une fermeture totale. » Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Dépêche de Tahiti dans l’espace Mon Actu . 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Moncompte; Poser une question Poser une question Poser une question Poser une question Répondre à des questions Connectez-vous à votre compte ekie. ×. Vous devez être connecté à votre compte Avostart pour effectuer cette action. Comment contester un licenciement économique? J’ai été licenciée économique en juin 2019, il s’avère que le motif est tout autre,
Perdre son emploi, cela n'arrive pas qu'aux autres. Vous avez donc tout intérêt à connaître les bonnes réflexes en cas de licenciement. Cela vous permettra d'être acteur plutôt que victime d'une procédure souvent douloureuse. 1. Ne pas se rendre à l'entretien de licenciement seul Quand la lettre recommandée arrive, le salarié dispose en général de cinq jours, avant le rendez-vous, pour prendre une décision importante. " Il peut se faire accompagner à l'entretien de licenciement par un délégué du personnel, voire n'importe quel employé de l'entreprise, explique Albert Hamoui, avocat en droit social. S'il n'y a pas de délégué, il peut aussi contacter un conseiller du salarié extérieur à l'entreprise et bénévole. Ce témoin rédigera un compte-rendu de l'entrevue qui pourra servir plus tard. " "Pour contester le licenciement, [...] mieux vaut attaquer au plus vite pour être crédible." 2. Prendre un avocat sans trop payer Sans surprise, notre juriste recommande de contacter au plus vite… un avocat. " Je le conseille d'autant plus vivement que c'est souvent presque gratuit. Beaucoup de particuliers disposent, sans le savoir, d'une assistance juridique avec leur carte bancaire ou leur assurance habitation. " 3. Réunir des preuves au plus vite Un avocat est censé vous dire si, à défaut de sauver votre place, vous pouvez attaquer votre employeur aux prud'hommes. Mais encore faut-il avoir des preuves. " Le Conseil de prud'hommes statuera au vu des preuves concrètes en sa possession, insiste l'avocat blogueur Thomas Roussineau. Dès que le licenciement semble imminent, collectez le maximum d'indices, notamment des échanges de mails que vous ne pourrez pas récupérer ensuite. " 4. Négocier une indemnité transactionnelle " Outre les indemnités légales, fixées par la loi ou la convention collective, le salarié peut négocier une transaction supplémentaire s'il juge le licenciement abusif ou s'il souhaite réparer un quelconque préjudice, poursuit le juriste. Et l'employeur peut accepter de verser une autre indemnité transactionnelle, soit quelques mois de salaire en plus souvent, plutôt que de prendre le risque de perdre davantage aux prud'hommes. " 5. Faire rédiger des attestations sans tarder Si un salarié signe une transaction, il s'engage à ne pas porter son licenciement devant la justice. Mais si l'employeur refuse et le salarié souhaite le poursuivre aux prud'hommes, il a intérêt à collecter des attestations au plus vite. " Il s'agit de demander à des collègues ou ex-collègues de témoigner de vos conditions de travail, explique Alina Paragyios, avocate spécialisée en droit du travail. Plus le temps passe, moins les gens sont motivés. Si quelqu'un vous donne son accord, insistez – gentiment – pour avoir le papier dans la semaine… " 6. Saisir rapidement le Conseil de prud'hommes Pour contester le licenciement, il faudra aussi saisir le Conseil de prud'hommes au plus vite. " Il y a une prescription de trois ans, mais mieux vaut attaquer au plus vite pour être crédible, poursuit-elle. C'est souvent long, mais si le motif du licenciement est invalidé, la loi prévoit, dans les entreprises de plus de onze salariés, le versement d'une indemnité minimale égale à six mois de salaire brut au salarié lorsqu'il compte plus de deux ans d'ancienneté. " 7. Occupez-vous de vous ! Reste à gérer la transition. " Si la personne licenciée va aux prud'hommes, elle doit impérativement se recentrer sur elle-même et faire le point sur ses envies, recommande Marianne Perrette, coach chez Coaching2vie. Alors que la procédure suit son cours, il faut parvenir à s'en détacher. Si vous pensez que c'est l'affaire de votre vie, il n'en est pas de même pour votre ex-employeur ni pour votre avocat. Il faut trouver le même détachement pour rebondir. Cesser d'être victime pour redevenir acteur de son destin. " 8. Rester ouvert à une issue amiable Alina Paragyios confirme. D'autant plus que le salarié n'est pas à l'abri de quelques surprises. " Parfois les plaignants s'accrochent à l'idée d'une réparation devant la justice alors que l'ex-employeur accepte parfois tardivement, finalement, de négocier. J'ai déjà vu des protocoles transactionnels signés la veille d'une audience aux prud'hommes. Les plaignants sont parfois frustrés alors que ces victoires me semblent bien plus fortes dans la mesure où l'autre partie reconnaît ses torts d'elle-même. " 9. Utilisez votre CPF Votre ancien employeur peut vous aider, malgré lui, à tourner la page. " Le futur licencié a intérêt à regarder s'il a des heures de CPF non utilisées, conseille Hélène Picot, auteure du guide Trouvez votre voie et rebondissez ! . Elles peuvent s'élever à 120 heures maximum, ce qui représente en général une enveloppe entre 800 et 1 500 euros qui peut financer un outplacement pour faciliter sa transition. Il faut juste penser à le demander pendant le préavis. " 10. Se dire aussi que c'est… une chance Cette coach invite ses clients à rêver d'une nouvelle vie. " On a la chance, en France, d'être bien protégé, observe-t-elle. Dès lors il ne faut pas se laisser gagner par le stress et se poser les bonnes questions, c'est-à-dire non pas quand je vais retravailler mais qu'est-ce que je veux vraiment faire. Même si un licenciement est douloureux, il faut aussi se dire que, dans certains cas, c'est peut-être une chance. "
. 379 63 427 408 492 401 295 138

mon employeur me dit de rester chez moi